Histoire

Histoire individuelle et résumée des écoles d’ingénieurs

(sources : CTI et écoles) ( illustrations : dessins – gravures anciennes)

CEA/ECEE/EMEN/ENSCENSE/ENSIENSM/EPES/ESI  ESM/EST  – GHIC/IPIS/ITMO/PS TU/V

La CTI (Commission des Titres d’Ingénieur) est un organisme indépendant, chargé par la loi française depuis 1934 d’évaluer toutes les formations d’ingénieur.
La CTI est décisionnaire pour l’habilitation des établissements privés et consulaires ; elle rend des avis aux ministères compétents pour les établissements de statut public


3IL – Limoges

3iL est une école privée créée en 1987 par la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de Limoges et de la Haute-Vienne. Elle est actuellement gérée par l’Association pour la gestion de 3iL (AG3iL). Elle a son siège à Limoges et dispose d’une antenne à Rodez. L’école a été habilitée la première fois par la CTI en 1995


Agrocampus Ouest – Rennes-Angers

Créé le 1er juillet 2008, AGROCAMPUS OUEST est le fruit de l’alliance de deux grandes écoles publiques d’ingénieurs :

  • –  Agrocampus Rennes (Institut national d’enseignement supérieur et de recherche agronomique et agroalimentaire de Rennes créé en 1830, dénommé ENSA de Rennes dès 1962) et
  • –  l’Institut national d’horticulture et de paysage (INH résultat de la fusion en 1998 de l’ENSH fondée en 1874 et de l’ENITHP créée en 1970) d’Angers.
    AGROCAMPUS OUEST est l’héritier de l’histoire de ses établissements fondateurs.

Agroparistech

Créé le 1er janvier 2007, AgroParisTech est le fruit de l’alliance de trois Grandes Ecoles d’ingénieurs : http://clubgeologiqueidf.fr/accueil/paleontologie/grignon/le-domaine-de-grignon/
•  l’ENGREF, Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts (l’ENGREF est née en 1965 de la fusion de l’Ecole Nationale des Eaux et Forêts de Nancy (créée en 1824) et de l’Ecole Nationale du Génie Rural, fondée à Paris en 1919)
• l’ENSIA, Ecole nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires (1893 création de l’ENIA, Ecole Nationale des Industries Agricoles, à Douai qui devient l’ENSIA, Ecole Nationale Supérieure des Industries Agricoles et Alimentaires, en 1960
• l’INA P-G, Institut national agronomique Paris-Grignon (L’INA P-G est issu de la fusion en 1971 de deux établissements : L’École Nationale Supérieure d’Agriculture de Grignon, issue de l’Institution Royale Agronomique de Grignon, créée en 1826 par Charles X et l’Institut National Agronomique (INA) créé à Versailles en 1848, installé à Paris en 1876.   –  


Agrosup Dijon

AgroSup Dijon, Institut national supérieur des sciences agronomiques, de l’alimentation et de l’environnement a été crée le 1er mars 2009,  AgroSup Dijon est né de la fusion de :

  • l’Établissement National d’Enseignement Supérieur Agronomique de Dijon (ENESAD créé en 1967, habilitée par la CTI en 1993)
  • l’École Nationale Supérieure de Biologie Appliquée à la Nutrition et à l’Alimentation (ENSBANA  créée en 1962, habillitée en 1967), école interne de l’université de Dijon.

Arts et Métiers ParisTech (ENSAM)

Fondée en 1780 sous la forme d’une école élémentaire par le duc de La Rochefoucauld-Liancourt (l’abbaye de Cluny étant déjà une école avant l’an 1000).
L’école est membre du PRES ParisTech et du PRES HESAM (Hautes études Sorbonne arts et métiers). L’école a une direction générale à Paris et 8 centres qui bénéficiaient d’une certaine autonomie : Cluny,  Metz (1997), Lille (1881/1900), Paris (1912), Angers (1780/1815), Bordeaux-Talence (1963), Châlons en Champagne (1780/1806), Aix en Provence (1843)
Ses diverses dénominations à travers le temps :

  • 1806-1815 : Ecole Impériale d’Arts et Métiers
  • 1815-1848 : Ecole Royale d’Arts et Métiers
  • 1848-1851 : Ecole Nationale d’Arts et Métiers
  • 1851-1870 : Ecole Impériale d’Arts et Métiers
  • 1870-1901 : Ecole Nationale d’Arts et Métiers

Une élévation progressive du niveau de sortie des élèves :

  • Un Brevet d’Ingénieur des Arts et Métiers (1907) après 3 années d’études.
  • Un diplôme d’Ingénieur de l’Ecole Nationale d’Arts et Métiers (1947), avec le regroupement à l’école de Paris pour une quatrième année d’études de tous les élèves des cinq écoles (aujourd’hui sept centres) de province.
  • Un diplôme d’Ingénieur de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers (1963). A partir de cette date, l’ENSAM a le statut d’« Etablissement Public d’Enseignement Supérieur »

CESI

Le Centre d’études supérieures industrielles (CESI), fondé en 1958 par de grandes entreprises industrielles est un établissement privé, régi par une association loi 1901, reconnue d’intérêt général. Classé à l’origine dans la catégorie des organismes de la Promotion Supérieure du Travail, il se positionne exclusivement sur le champ de la formation continue (1/4 des effectifs) et de l’apprentissage (3/4).
Cette école a une implantation qui couvre le territoire national (13 centres de formation d’ingénieurs) ; en 2010, elle a admis 1167 nouveaux élèves sur 3141 en formation, cet effectif devrait atteindre 3321 en 2012, principalement des DUT (70%) et des BTS (20%). Elle délivre 6 diplômes, dont 5 sont munis d’une spécialité. Chacun des 13 centres de formation est structuré avec une direction locale sous la responsabilité de la direction nationale. Six campus régionaux, regroupant les centres ont été mis en place. – 


 CNAM

Établissement fondé en 1794 par l’abbé Henri Grégoire dans l’esprit d’ouvrir l’accès à la connaissance à tous, le CNAM s’affirme toujours comme un acteur engagé au service de la promotion sociale. EPSCP grand établissement (décret 88-413 du 22 Avril 1988), le CNAM a rassemblé ses formations d’ingénieur sous la bannière d’un institut interne, l’EiCNAM, le 24 décembre 2008. Puis, à la publication du décret modificatif du 19 novembre 2009 et d’un règlement intérieur consolidé au 15 décembre 2010, l’école interne EiCNAM a disparu.

Le CNAM s’est doté de 2 « écoles », structures internes (sans identité juridique) en charge de l’offre de formation respectivement en « Management et société » et en « Sciences industrielles et technologies de l’information » (SITI). L’EiCNAM est désormais un label recouvrant l’offre du CNAM en formations d’ingénieurs.
Le CNAM est l’un des 9 membres fondateurs du PRES HESAM (Hautes Etudes-Sorbonne-Arts et Métiers) qui regroupe 13 établissements d’enseignement supérieur parisiens ; le CNAM et Arts et Métiers Paris Tech en sont les seuls membres formant des ingénieurs.
La voie d’accès la plus connue et développée au diplôme ingénieur du CNAM est la formation continue hors temps de travail (HTT). – 


CUFR Jean-François CHAMPOLLION Albi

Le Centre universitaire de formation et de recherche du Nord-Est Midi-Pyrénées Jean-François Champollion (CUFR Champollion) a été créé en 2002, en articulation avec le pôle universitaire de Toulouse. Il rassemble un peu plus de 3700 étudiants sur cinq sites (Albi, Rodez, Castres, Saint-Affrique et Millau). Depuis 2006, le CUFR Champollion est habilité à délivrer un titre d’ingénieur diplômé dans la spécialité « informatique pour la santé » en formation sous statut étudiant à Castres au sein du département d’ingénierie ISIS « Informatique et Systèmes d’Information pour la Santé », pour 2 ans, puis 1 an, 2 ans et 3 ans. Ce département est situé sur le campus de Castres.

Le 25 septembre 2013, le Groupe INSA a admis ISIS parmi ses partenaires (avec ENSCI Limoges et ENSIAME Valenciennes). Une convention cadre entre l’INSA de Toulouse et le CUFR Champollion a été conclue le 27 janvier 2014 pour une durée de 5 ans.


CUST – Polytech Clermont

Créé en 1969, le Centre universitaire des sciences et techniques (CUST) est un des deux instituts de l’université Clermont-Ferrand II, le deuxième étant l’Institut supérieur d’informatique, de modélisation et de leurs applications (ISIMA), créé en 1994.
1990 : création du réseau Eiffel réunissant les 3 premières grandes écoles d’ingénieurs internes aux universités (EUDIL à Lille, ISIM à Montpellier et CUST à Clermont-Ferrand).
Septembre 2004 : création du réseau Polytech et fusion avec le réseau Eiffel. Membre du réseau Polytech, il a adopté en 2006 le nom d’usage Polytech Clermont-Ferrand. – 


EA (Ecole de l’Air) Salon-en-Provence

1925 : D’abord établi à Versailles, le Centre d’études de l’aéronautique devient par changement de dénomination l’École militaire et d’application de l’aéronautique. L’École de l’air est créée en 1935, deux ans après l’Armée de l’air. Elle fait sienne la devise « Faire Face » du Capitaine Guynemer, prestigieux pilote de chasse tombé au combat en 1917, et qui donne son nom à la première promotion de l’École. 1945 : Création du Centre d’enseignement supérieur aérien (CESA) à l’Ecole Militaire (Paris). 1946 : L’École de l’air qui regroupe désormais l’École de l’air et l’École militaire de l’air, regagne la Base aérienne 701. 1953 : Création de l’École du commissariat de l’air. – 


EBI Cergy

L’Ecole de biologie industrielle (EBI) est une école privée, créée en 1992 à Cergy-Pontoise au sein du réseau des écoles de l’Institut Polytechnique Saint-Louis, à l’initiative d’industriels et avec le soutien du Conseil Général du Val d’Oise, qui fournit les locaux gracieusement. Elle est habilitée par la CTI en 1999 et reconnue par l’État en 2002 puis contractualisée depuis 2010. L’école participe aux réseaux académiques et de recherche locaux (Institut Polytechnique Saint Louis, PRES Université du Grand Ouest Parisien). 


ECAM Lyon

L’Ecole d’Arts et Métiers Saint Jean Baptiste de la Salle est créée en 1900 par les Frères des Ecoles Chrétiennes à Reims, puis transférée à Erquelinnes au début de la première Guerre Mondiale et installée à Lyon depuis le début de la seconde Guerre (1940). Elle est habilitée par la Commission des titres d’Ingénieurs depuis 1946. En 1977, les Frères lèguent leur patrimoine à la Fondation ECAM reconnue d’utilité publique. Le groupe ECAM, crée en 2004 , regroupe l’ECAM Lyon l’EPMI-Cergy et l’école Louis de Broglie Rennes (devenue ECAM Rennes), et depuis 2006 ESCAM Strasbourg). – 


ECAM Rennes

Née en 1991 du caractère visionnaire de ses 4 fondateurs, l’école prend le nom de Louis de Broglie, prix nobel de physique en 1929. L’école est membre de la Fédération d’écoles supérieures d’ingénieurs et de cadres (FESIC), de la Conférence des grandes écoles (CGE). Installée sur le campus vert de Ker Lann, à 15 km de Rennes, elle compte à ce jour 516 étudiants et apprentis. Elle a diplômé en 2013 près de cent élèves-ingénieurs dont une vingtaine d’apprentis. Elle change de nom en 2009 et devient ECAM Rennes-Louis de Broglie.  – 


ECAM Strasbourg

2006 : Emergence du projet entre la Région Alsace, le Groupe ECAM et l’enseignement catholique d’Alsace – Août 2010 : Habilitation CTI (Commission des titres d’ingénieurs) – Avril 2011 : Arrêté préfectoral autorisant l’ouverture de l’école d’ingénieurs ECAM Strasbourg-Europe. Elle forme des ingénieurs généralistes type Arts et Métiers. 40% des enseignements sont en anglais ou en allemand. Cet aspect linguistique est une des caractéristiques de l’ECAM Strasbourg-Europe. – 


ECAM-EPMI Cergy

L’Ecole d’électricité, de production et des méthodes industrielles est un établissement privé créé en 1992 à l’initiative de 4 groupes industriels (EDF, SCHNEIDER, PHILIPS et PSA) et de l’Institut Catholique de Paris. A cette époque, l’Institut Catholique de Paris (ICP) regroupait une partie de ses formations professionnelles à Cergy-Pontoise pour structurer l’actuel Institut Polytechnique Saint-Louis (IPSL, qui compte aujourd’hui 5 établissements : EBI, EPMI, EPSS, ILPES et ISTOM). Reconnue par l’Etat, elle est membre de la Fédération d’écoles supérieures d’ingénieurs et de cadres (FESIC, qui regroupe 19 écoles) et du groupe ECAM (4 écoles). En 1996 elle est habilitée par la CTI à délivrer le diplôme d’ingénieur. En 2006 elle adhère au groupe ECAM, en 2007 à la FESIC et en 2009 à la CGE. En 2014 elle devient ECAM-EPMI. – 


ECE Paris

L’ECE Paris naît en 1919 à Paris, sous le nom d’Ecole Centrale de TSF (télégraphie sans fil)(ECTSF). L’école voit le jour, sous l’impulsion d’un jeune officier marinier, Eugène Poirot. Visionnaire, l’ancien opérateur radio fait le pari d’ouvrir une école entièrement dédiée à l’enseignement d’une technologie, balbutiante à l’époque, mais qu’il tient pour essentielle dans les moyens de communication futurs. Son intuition est confirmée. L’ECTSF va former des bataillons d’opérateurs radio civils, pour la RTF puis l’ORTF, et militaires, missionnés sur tous les continents, de l’Océanie à l’Asie, sur terre, sur mer comme dans les airs. En 1939, on y étudiait déjà la télévision et en 1959, le transistor. En 1963 : changement de nom pour Ecole Centrale d’Electronique (ECE). En 1990 : habilitation par la CTI.


 EC Lille – Centrale Lille

L’école, créée en 1854, est devenue « Institut industriel du Nord » en 1872. Ecole dépendant du département du Nord, elle a rejoint le Ministère de l’Education Nationale en 1975. Elle s’est installée en 1968 sur le campus scientifique de Lille à Villeneuve d’Ascq. Elle est devenue officiellement « Ecole centrale de Lille » en juillet 1991. Elle a rejoint le groupe des écoles centrales le 5 décembre 1990.   – 


EC Lyon – Centrale Lyon

1857 : naissance de l’École Centrale lyonnaise pour l’Industrie et le Commerce, à l’initiative de François Barthélemy Arlès-Dufour, homme d’affaires et humaniste lyonnais et de Désiré Girardon, professeur à l’école de la Martinière, l’école est créée sur le modèle de l’École Centrale (Paris) ; 1947 : cession de l’École à l’État – 1970 : nouvelle dénomination : École centrale de Lyon. – 


EC Marseille – Centrale Marseille

Elle résulte de la fusion de l’ENSPM, de l’ENSSPICAM, de l’ESM2 (2003) et de l’ESIM (2004). En même temps, l’établissement est l’héritier d’une longue tradition marseillaise dans la formation des ingénieurs, qui plonge ses racines dans la fin 19ème siècle :

1891 : Création de l’École d’Ingénieurs de Marseille (EIM)- 1907 : Création de l’École d’Électricité Industrielle de Marseille (EEIM) – 1917 : Création de l’École Supérieure de Chimie de Marseille (ESCM) – 1959 : Création de l’École Supérieure d’Ingénieur de Pétroléochimie et de Synthèse Organique Industrielle (ESIPSOI) – 1959 : Création de l’École Nationale Supérieure de Physique de Marseille (ENSPM) – 1972 : Création de l’École Supérieure d’Ingénieurs de Marseille (ESIM) – 1990 : Fusion de l’ESCM et de l’ESIPSOI et création de l’École Nationale Supérieure de Synthèses, de Procédés et d’ingénierie Chimiques d’Aix Marseille (ENSSPICAM) – 1991 : Création de l’École Supérieure de Mécanique de Marseille (ESM2)-  Septembre 2003 : Création de l’École Généraliste d’Ingénieurs de Marseille (fusion de l’ENSPM, ENSSPICAM, ESM2)  – Juillet 2004 : intégration de l’École Supérieure d’Ingénieurs de Marseille (ESIM) à l’École Généraliste d’Ingénieurs de Marseille (EGIM). Septembre 2006 : Changement de nom pour École Centrale de Marseille.


EC Nantes – Centrale Nantes

En 1919 le Conseil Municipal de la Ville de Nantes vote la création de l’Institut Polytechnique de l’Ouest. Mars 1948 : l’École se transforme en ENSI et prend le nom d’École Nationale Supérieure de Mécanique (ENSM) – 31 juillet 1991 : par décret paru au Journal Officiel, l’ENSM devient : Ecole Centrale de Nantes, Membre de l’Intergroupe des Ecoles Centrales


EC Paris – Centrale ParisTech
49 Centrale tenue des eleves

1929 : L’École Centrale des Arts et Manufactures est créée par quatre personnalités ouvertes au développement de la “Science Industrielle” : Alphonse Lavallée, Jean-Baptiste Dumas, Théodore Olivier et Eugène Péclet. L’École s’installe dans l’Hôtel Salé, actuel musée Picasso. 1862 : Le titre « Ingénieur des Arts et Manufactures » est créé. 1969 : L’École s’installe sur le campus de Châtenay-Malabry, situé près du parc de Sceaux. Elle réorganise en profondeur ses enseignements et choisit la marque “École Centrale Paris”. 2005 : Création de l’École Centrale de Pékin. 2011 : Création de l’association de préfiguration de la marque CentraleSupélec. – 

2007 : l’Intergroupe devient le Groupe des Écoles Centrales avec Lille, Lyon, Marseille, Nantes et Paris.


ECPM Strasbourg

L’Ecole Européenne de Chimie, Polymères et Matériaux de Strasbourg (ECPM) est une école interne de l’Université de Strasbourg. Son histoire a débuté en 1920 par l’institution du diplôme d’études supérieures d’ingénieur-chimiste à l’Institut de Chimie de Strasbourg. Devenue Ecole nationale supérieure de chimie de Strasbourg au moment de la création des ENSI en 1948, elle prit le nom d’Ecole européenne des hautes études des industries chimiques de Strasbourg en 1986. Puis, elle devient l’Ecole européenne de chimie, polymères et matériaux de Strasbourg (ECPM) par la fusion en 1995 de l’EHICS, de l’EAHP (Ecole d’application des hauts polymères) et du magistère « matériaux » de l’Université Louis Pasteur. 


EEIGM Nancy

L’EEIGM créée en 1991, est aujourd’hui le fruit d’un projet s’appuyant sur un consortium de 7 universités européennes partenaires  :
Université de Lorraine – Universitat Politècnica de Catalunya en Espagne – Luleå Tekniska Universitet en Suède – Universität des Saarlandes en Allemagne – AGH University of Science and Technology en Pologne – Universidad Politécnica de Valencia en Espagne – National University of Science and Technology “MISIS” en Russie.  L’EEIGM est membre de l’Université Franco-Allemande.

Tous ses étudiants ont par construction une forte coloration internationale (au moins un an à l’étranger). Elle accueille un tiers d’étudiants étrangers, très majoritairement non francophones. 


EFREI Paris

1936 : création, par Ernest Lavigne, de l’Ecole Française de Radioélectricité (EFR) qui elle allait former des manipulateurs d’ondes radiophoniques, notamment pour la marine marchande. Au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, l’EFR obtient la reconnaissance de l’Etat et ambitionne de former des ingénieurs. Ainsi, une décennie plus tard, alors que son diplôme est reconnu par la Commission des Titres d’Ingénieur en 1957, elle forme un ingénieur qui allait bouleverser le paysage de l’informatique : en 1972, André Truong (promo 1959) invente, dans son entreprise R2e, le Micral-N, premier micro-ordinateur au monde. En 1973, l’EFR devient l’Ecole FRançaise d’Electronique et d’Informatique (EFREI). – 


EIGSI La Rochelle

A l’origine de l’EIGSI, en 1901, on trouve l’EEMI, Ecole d’Electricité et de Mécanique Industrielle. Si l’EEMI paye son tribut en hommes pendant les deux guerres mondiales, elle continue toutefois son développement et atteint une grande notoriété sous le nom d’Ecole Violet, nom qui lui est donné du fait de sa localisation rue Violet à Paris à partir de 1903. En 1990, l’EEMI devient l’EIGSI. – 


EIL Côte d’Opale Saint-Omer

L’EIPC (Ecole d’Ingénieurs du Pas-de-Calais créée en 1991 par Jacques Durand, Dirigeant de la Verrerie Cristallerie d’Arques – J.G. Durand et Cie) a intégré l’Université du Littoral Côte d’Opale – ULCO – avec la création de l’EIL Côte d’Opale – École d’Ingénieurs du Littoral Côte d’Opale le 1er septembre 2010. – 


EISTI Cergy-Pontoise

1983 : Création à Cergy de l’École Internationale des Sciences du Traitement de l’Information. Reconnaissance de l’Etat en 1989, puis habilitation de la CTI en 1992. En 2006 : rattachement ministériel à SUPMECA et en 2010 création du Collégium Ile-de-France avec l’ENSEA et SUPMECA. – 


EIVP Paris

L’École des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP), anciennement École des ingénieurs de la Préfecture de la Seine, créée le 13 octobre 1959, est un établissement public, depuis le 1er janvier 2006

1959 L’École des ingénieurs de la Préfecture de la Seine était une école d’application dont la pédagogie était sous-traitée par délégation de service public à l’École spéciale des travaux publics (ESTP). Ce qui permettait aux conducteurs de travaux d’obtenir le diplôme d’ingénieur de cette école. 1968 L’École devient l’École des ingénieurs de la Préfecture de Paris. 1971 L’École des ingénieurs de la préfecture de Paris est habilitée à délivrer le titre d’ingénieur diplômé par la CTI, la même année que l’ENTPE. En 1977, l’école devient École des ingénieurs de la Ville de Paris, le nom de l’École s’adaptant à l’évolution du statut de la Capitale. 1986 Sur délibération du Conseil de Paris, l’École, conçue pour former les fonctionnaires de l’administration, ingénieurs de la préfecture de la Seine, puis de la préfecture de Paris, puis de la Ville de Paris, devient l’École des ingénieurs de la Ville de Paris et développe, tout en restant dans les locaux de l’ESTP, une pédagogie autonome. La même année, l’École s’ouvre aux élèves « civils » (non fonctionnaires de la Ville de Paris) qui représentent aujourd’hui près de 80% des promotions. 2005 l’École devient École des ingénieurs de la Ville de Paris-École supérieure du génie urbain, un établissement public local à compter du 1er janvier 2006. 2011 Publication du décret de rattachement de l’EIVP à l’ENPC (Ecole des Ponts).  –


EME Ker-Lann

Créée en 1992, l’École des Métiers de l’Environnement (EME) est spécialisée en développement durable et environnement. C’est une association loi 1901 à but non lucratif. Depuis la rentrée 2007, l’école est habilitée à délivrer le titre d’ingénieur diplômé de l’EME en formation initiale sous statut d’étudiant. L’établissement est reconnu par l’État depuis 2008 et bénéficie d’un contrat depuis 2010. L’école a intégré le PRES Université Européenne de Bretagne en 2013.  


EN Brest (École Navale)

40 amphitheatreAu 17ème siècle, Richelieu prend conscience de la nécessité pour la France de disposer d’une force maritime. Cependant, il a fallu attendre l’arrivée de Colbert au poste de secrétaire d’état à la Marine pour voir créer à Rochefort, Brest et Toulon, trois compagnies de Gardes de la Marine, première école de formation des officiers. Sous la Révolution française et l’Empire, cette formation connaît des mutations profondes. Elle se stabilise grâce à une ordonnance de janvier 1816 qui crée le Collège royal de la Marine, mis en activité en 1818 à Angoulême, et transféré sur l’Orion en rade de Brest à partir de 1827. En 1829, le Collège royal prit le nom d’École royale préparatoire de la Marine puis en novembre 1830, par une ordonnance du roi Louis-Philippe, celui d’École navale. En 1945, l’École navale est transférée à Lanvéoc et s’installe dans les locaux disponibles de la base aéronavale. – 


ENAC Toulouse

L’ENAC est créée officiellement le 28 août 1949  à Paris principalement à l’initiative de Max Hymans, alors secrétaire général de l’Aviation civile et commerciale (SGACC). En septembre 1968, l’ENAC inaugure ses toutes nouvelles installations situées au cœur du campus scientifique de Rangueil à proximité de l’université scientifique Paul Sabatier, du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES), de nombreux laboratoires du CNRS, etc… Le 1er janvier 2011 l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile (ENAC) et le Service d’Exploitation de la Formation Aéronautique (SEFA) ont fusionné. – 


ENGEES Strasbourg

9 août 1952 : Création d’une nouvelle école nommée l’Ecole d’application des Ingénieurs des Travaux Ruraux. 1er octobre 1960 : L’école adopte une nouvelle dénomination : Ecole Nationale des Ingénieurs des Travaux Ruraux et des Techniques Sanitaires (ENITRTS). Le 23 novembre 1992 : l’Ecole s’appelle désormais Ecole Nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg (ENGEES). – 


Le groupe des ENI (Ecoles Nationales d’Ingénieurs): ont été créées entre les années 1961 et 1965. Elles avaient pour vocation de former en 4 années des ingénieurs de fabrication. Les ENI forment actuellement en 5 ans après le baccalauréat des ingénieurs généralistes, hommes de terrain en génie des systèmes industriels, Génie mécanique, Automatisme robotique, Matériaux, Productique, Génie civil, Electronique, Informatique industrielle, Automobile et transports, Développement durable, Qualité, Logistique, Sûreté de fonctionnement, Achats.
Une 5ème école (après Brest,  Saint-Etienne puis Tarbes, Metz et Belfort [Belfort en 1985 fusionne avec l’IPSé pour devenir l’UTBM]) avait  rejoint le réseau : l’ENI du Val de Loire, à Blois [qui vient récemment de fusionner avec l’ENSIB pour former l’INSA Val de Loire]. – 


ENIB Brest

Etablissement public à caractère administratif, l’Ecole nationale d’ingénieur de Brest (ENIB) est une école de formation initiale et continue d’ingénieurs généralistes en ingénierie des systèmes électroniques, informatiques et mécatroniques. Elle développe des activités de recherche dans les domaines scientifique et technologique, tout en contribuant à la diffusion de l’information scientifique et technique, à la valorisation des résultats obtenus et au développement industriel. La formation a été mise en place en 1961.
2004 : rattachement à l’université de Bretagne Occidentale (UBO). 2013 : association de l’ENIB à l’Institut Mines-Telecom. –  


ENIM Metz

Née en 1961 en même temps que ses « soeurs » de Tarbes, Saint-Etienne et Brest, l’ENIM est le fruit de deux volontés conjointes : celle de l’Etat, qui veut alors déconcentrer et structurer l’enseignement technique supérieur, et celle de l’industrie qui, dans un contexte de forte expansion économique, redoute une pénurie d’ingénieurs. 


ENISE Saint-Etienne

Création en 1961 – 


ENIT Tarbes : voir INP Toulouse – ENIT


ENSAI Bruz

Jusqu’en 1994, la formation dispensée à l’Ensai était dans une division de l’ENSAE (École Nationale de la Statistique et de l’Administration Économique) à Paris.
Lors de la création du Groupe des Écoles Nationales d’Économie et Statistique (Genes), l’ancienne division Cgsa de l’ENSAE a reçu le nom d’Ecole Nationale de la Statistique et de l’Analyse de l’Information (ENSAI).
Dès sa création, l’ENSAI a été conçue comme une école d’ingénieurs tournée vers l’entreprise, école dont l’INSEE bénéficie pour former ses attachés en les intégrant partiellement au cursus pendant les 2 premières années. Cette particularité explique certaines orientations prises par la direction. L’école revendique sa spécialité en ingénierie statistique et dans la conception et l’analyse de l’information des systèmes complexes de données au profit du monde de l’entreprise. Elle occupe une niche au carrefour des statistiques et de l’informatique.


ENSAIA Nancy

1893 : Création de l’Ecole de Brasserie et de Malterie de Nancy- 1901 : Création de l’Institut Colonial et Agricole de Nancy – 1905 : Création de l’Ecole de Laiterie de Nancy – 1948 : L’Institut Colonial et Agricole de Nancy devient l’Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie de Nancy (ENSA) – 1971 : Création de l’Institut National Polytechnique de Nancy (INP). Le Ministère impose la fusion des 3 écoles à vocation biologique (Ecole de Brasserie, Ecole de Laiterie et ENSA), d’où la création de l’ENSAIA.
L’INP de Nancy est alors une fédération de 5 écoles : l’école des Mines, l’ENSIC, l’ENSEM, l’ENSG et l’ENSAIA.
2006 à 2011 : L’INPL est membre de Nancy-Université, liant les 3 universités nancéiennes (l’INPL, Nancy2 et l’Université Henri Poincaré) – 2012 : L’ENSAIA fait partie de l’Université de Lorraine (issue de la fusion des 4 universités lorraines – INPL, Nancy 2, UHP, UPVM) et est intégrée au Collégium Ingénieurs « Lorraine – INP ».


ENSAIT Roubaix

En 1876, le Conseil Municipal de Roubaix, désireux de donner satisfaction aux voeux de la population d’avoir un enseignement spécial, adopte la création d’un établissement destiné à réunir les cours publics, écoles académiques (tissage, dessin.), avec leurs collections, le musée artistique et industriel, et la bibliothèque, qui auparavant étaient disséminés dans la Ville. Parallèlement, le gouvernement souhaitait créer une école textile, pour répondre aux besoins de l’industrie. L’Etat décida d’aider la ville de Roubaix ; l’école serait donc une institution nationale. L’ENAI (Ecole Nationale dArts Industriels) est officiellement créée par la loi du 5 juillet 1881 et une convention est signée en 1882 entre l’Etat et Roubaix. La réalisation de l’Ecole est alors confiée à l’architecte Dutert, inspecteur de l’enseignement du dessin pour la région du Nord, qui soutenait ce projet depuis plusieurs années. L’ENAI prend le nom d’ENSAIT en 1921. –  


ENSCCF Clermont-Ferrand

1908 : création de l’Ecole de Chimie Industrielle par Victor Thomas – 1910 : l’école change de nom et devient l’Institut de Chimie Industrielle du centre de la France – 1911 : l’école déménage au lieu-dit Rabanesse (aujourd’hui intégré dans le centre ville de Clermont sous le nom de bd Côte Blatin) et devient l’Institut Industriel et Commercial du centre de la France – 1920 : l’Institut est reconnu comme Etablissement d’Etat, rattaché à l’Université et prend alors sa 4ème dénomination, Institut de Chimie et de Technologies Industrielles de Clermont-Ferrand (ICTIC) – 1961 : l’école prend le statut d’ENSI Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieur et adopte son nom définitif d’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Clermont Ferrand (ENSCCF). 2016 : 1er janvier : L’ENSCCF fusionne avec l’IFMA et devient SIGMA  – 


ENSCI Limoges

1893 : Naissance de l’École de Céramique de Sèvres (ECS). Son enseignement ne se rapportait alors qu’à la céramique d’art. 1955 : Changement de nom : L’école devient l’École Nationale Supérieure de Céramique Industrielle (ENSCI). L’école s’installe  à Limoges en 1979. En 2010 : aménagement au Centre Européen de la Céramique à Limoges.


ENSCL Lille

1894 : Naissance de l’Institut de Chimie dans la Faculté des Sciences ; il concourt à la Licence, et délivre un Certificat de Chimie Appliquée ouvert aux auditeurs-libres – 1904 : L’Institut délivre le diplôme de Chimiste de l’Université – 1911 : L’lnstitut délivre désormais un diplôme d’Ingénieur-Chimiste – 1953 : L’lnstitut de Chimie de Lille devient l’École Nationale Supérieure de Chimie de Lille (ENSCL). Autrefois très orientée vers la métallurgie, l’ENSCL forme aujourd’hui des ingénieurs chimistes généralistes dans des secteurs aussi variés que les matériaux, la métallurgie, mais aussi l’énergie, la pharmacie, les cosmétiques, l’agroalimentaire, les bio-industries, l’informatique, l’environnement…  – 


 ENSCM Montpellier

Entrée du premier Institut de chimie de Montpellier, en 1889, dans les locaux de l’Ecole de pharmacie, réunissant les enseignements de la chimie dispensés dans cette Ecole et à la Faculté des sciences. Le deuxième Institut de chimie est aménagé en 1922 dans les locaux de l’ancien évêché. Le troisième Institut de construit en 1934. Il est devenu en 1957 l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie. Depuis lors, l’Ecole s’est agrandie par le Centre de Recherches Max Mousseron en 1965 (promoteur de la transformation de l’Institut de Chimie en E.N.S.I. et premier Directeur de l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier (de 1941 à 1972).


ENSCMu Mulhouse

L’École Nationale Supérieure de Chimie de Mulhouse (ENSCMu) a été fondée en 1822 à la demande d’industriels du secteur de la chimie. C’est la plus ancienne des écoles de chimie de France. C’est une école en trois ans dont l’objectif est de former sous statut étudiant des ingénieurs destinés à l’industrie chimique.
Après la guerre franco-prussienne de 1870 et l’annexion de l’Alsace, l’Ecole de Chimie de Mulhouse connaît un développement spectaculaire. Formant des chimistes pour l’industrie textile, l’enseignement de haut niveau, porté successivement à trois puis quatre ans. Fermée pendant la guerre 1914-1918, l’Ecole doit s’adapter à sa nouvelle situation créée par son retour en France et à l’évolution rapide de la science. Elle s’oriente vers la formation de chimistes généralistes ayant reçu une forte formation pratique, permettant une intégration rapide dans le monde industriel
En 2006, l’établissement est devenu école interne de l’Université de Haute Alsace. -ou encore aux archives de l’université


ENSCP – Chimie ParisTech

La première promotion fait son entrée le 3 novembre 1896. L’établissement devient l’Institut de Chimie appliquée en 1901. Henri Moissan, Directeur de l’Institut, est prix Nobel de Chimie en 1906. Henri Moissan instaure un concours d’entrée (niveau de baccalauréat de mathématiques) et par décret en date du 29 décembre 1906, l’institut est autorisé à délivrer le diplôme d’ingénieur chimiste de la Faculté des sciences de Paris.
En 1930, l’École prend le nom d’Institut de Chimie de Paris (ICP). En 1948, l’ICP devient l’École Nationale Supérieure de Chimie de Paris (ENSCP). En 2008, l’ENSCP devient membre fondateur du pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) ParisTech et prend alors le nom de Chimie ParisTech. – 


ENSCR Rennes

L’Ecole de Chimie de Rennes a été officiellement créée en 1919 à l’initiative de la Chambre de Commerce dans le cadre de l’Institut Polytechnique de Bretagne puis de l’Institut Polytechnique de l’Ouest. Les ingénieurs se destinent aux industries métallurgiques et minières ainsi qu’aux industries alimentaires. La création de l’Institut de Chimie de Rennes résulte d’un rapprochement avec la Faculté des Sciences qui devient ICUR (Institut de Chimie de l’Université de Rennes). L’ICUR obtient l’habilitation à délivrer le diplôme d’ingénieur en 1954 et intègre le statut des ENSI en 1959 et devient l’ENSCR .


ENSEA Cergy

L’ENREA (École nationale de radiotechnique et d’électricité appliquée), par décret du 8 juillet 1952 reçoit sa 1ère habilitation de la CTI pour sa création d’une section d’ingénieurs.  1975 : La section ingénieur de l’ENREA devient indépendante sous le nom d’École Nationale Supérieure de l’Électronique et de ses Applications (ENSEA) (décret du 15 janvier 1975). Le 24 avril 2012 marque un tournant dans l’histoire de l’ENSEA avec la création du PRES « Collegium Ile-de-France » regroupant les trois grandes écoles d’ingénieurs fondatrices, SUPMECA, l’EISTI et l’ENSEA. 


ENSEM Nancy

Créé en 1900 par le doyen Ernest Bichat et les frères Alfred et Ernest Solvay, L’École nationale supérieure d’électricité et de mécanique (ENSEM) est née de la rencontre de l’Université et de l’Industrie et de la volonté de créer, à Nancy, un institut d’enseignement et de recherche dans le domaine de l’électrotechnique. Rattachée en 1969 à l’institut polytechnique de Lorraine (INPL), elle est depuis 2012 intégrée à l’Université de Lorraine. 


ENSG (Géomatique) Marne La Vallée

L’École Nationale des Sciences Géographiques a été créée en 1941 pour assurer initialement la formation des personnels techniques de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN). L’école s’est depuis largement ouverte à des publics destinés à exercer leurs activités professionnelles dans tous les secteurs économiques concernés par la production ou l’utilisation d’information géographique, y compris le secteur de la forêt depuis l’intégration de l’IFN (Inventaire forestier national) à l’IGN en 2012


ENSG (Géologie) Nancy

L’ENSG fait partie de l’Institut national polytechnique de l’Université de Lorraine, elle est née en 1908 par la création de l’IGAN (Institut de Géologie appliquée de Nancy) par René Nicklès. – 1944 : L’IGAN devient École Supérieure de Géologie appliquée et de Prospection minière par décret du Ministre de l’Éducation nationale – 1948 : L’école devient École Nationale Supérieure de Géologie appliquée et de Prospection minière. – 1971: création de l’INPL (Institut National Polytechnique de Lorraine) avec la réunion de cinq grandes écoles : ENSG, ENSAIA, ENSEM, ENSIC, ENSMN. – 2011 : L’ENSG obtient le statut d’Observatoire des Sciences et de l’Univers – 2012 : Naissance de l’Université de Lorraine et intégration en tant que membre associé du réseau Institut Mines-Telecom. – 


ENSGSI Nancy

Fondée en 1993 l’école nationale supérieure en génie des systèmes industriels (ENSGSI) devient en 2014 l’Ecole Nationale Supérieure en Génie des Systèmes et de l’Innovation. Elle est une des écoles  de l’Université de Lorraine et fait partie du Collégium Lorraine INP (Institut national polytechnique de Lorraine).


ENSIAME Valenciennes

L’ENSIAME est une école interne à l’Université de Valenciennes, créée en 2002 par fusion de deux écoles préexistantes (ENSIMEV créée en 1979 et habilitée par la CTI la même année et EIGIP créée en 1992) et de l’intégration de l’ISIV (Institut Supérieur Industriel de Valenciennes créé en 1963) comme département spécifique.


ENSIBS Lorient-Vannes

L’École nationale supérieure d’ingénieurs de Bretagne Sud (ENSIBS)  a été créée en mai 2007 comme école interne à l’Université de Bretagne Sud (UBS) et a été habilitée par la CTI en février 2008 pour 3 ans pour les spécialités Génie Industriel et Mécatronique et pour 1 an pour la spécialité Informatique. En juin 2009, la spécialité Informatique a été habilitée pour 2 ans. Ces trois spécialités sont enseignées en formation initiale sous statut étudiant. Suite à la visite de la CTI en février 2011, ces trois spécialités ont été habilitées pour trois ans. La spécialité Sécurité des systèmes d’information, sous statut apprenti, crée en septembre 2013 a été habilitée en mars 2013 pour un an.  


ENSIC Nancy

1887 : création de l’Institut Chimique dans le cadre de la faculté des Sciences de Nancy. 1912 Prix Nobel décerné à un des professeurs dans l’établissement  : Victor Grignard – 1948 : l’Ecole Supérieure des Industries Chimiques devient l’Ecole Nationale Supérieure des Industries Chimiques – l’ENSIC se veut, par son enseignement et sa recherche, l’un des pôles français de référence en génie chimique et en génie des procédés ; elle est une des écoles internes de l’Université de Lorraine. – 


ENSICAEN

L’Ecole est la lointaine héritière d’un Institut des Sciences Appliquées (ISA), constitué en 1911-1912 au sein de l’Université de Caen. La scission de l’ISA donne naissance à l’Institut Technique de Normandie (ITN) en 1914 et à l’Institut de Chimie de Caen (ICC) en 1922. En 1960, l’ITN est transformé en un Institut dénommé l’Institut Technique de l’Université de Caen (ITUC) qui devient l’Ecole Nationale Supérieure d’Electronique et d’Electromécanique de Caen (ENSEEC) en 1964. La transformation de l’ICC intervient en 1967 et l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Caen (ENSCC) est créée. Les deux Ecoles fusionnent en 1976 pour devenir, l’Institut des Sciences de la Matière et du Rayonnement, Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs (ISMRA), constituant une Unité d’Enseignement et de Recherche dérogatoire . En 1986, l’ISMRA devient un Etablissement Public à Caractère Administratif rattaché par convention à l’Université de Caen. En octobre 2002 par décret ministériel, l’ISMRA change de nom pour devenir l’ENSICAEN, Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Caen et Centre de Recherche. 


ENSIIE Evry

1968 : Naissance de l’Institut d’Informatique pour l’Entreprise, IIE, est créé au sein du Conservatoire National des Arts et Métiers. 1970 : un arrêté du Ministère de l’Education Nationale, du 21 janvier 1970, modifié le 22 mai 1992, stipule que l’Institut d’Informatique pour l’Entreprise, IIE, délivre le diplôme d’ingénieur. Le diplôme est reconnu par la CTI en 1972 pour la formation initiale, et en 1994 pour la formation continue. Le recrutement principal se fait depuis 1974 sur le concours Centrale-SupElec. L’ENSIIE devient un EPA, Etablissement Public Administratif autonome, sous la tutelle directe du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, créé par décret du 1er août 2006. L’ENSIIE a une convention avec l’Université d’Evry Val d’Essonne. – 


 ENSIL Limoges

L’Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Limoges a éte créée, et habilitée par CTI à délivrer le titre d’Ingénieur, (arrêté du 31 octobre 1991) dans quatre spécialités : Eau et Environnement (EAU) Electronique et Télécommunications (ELT) Matériaux (MAT) Mécatronique (MIX). La spécialité « Mécatronique » fut créée en 1999, après l’avis favorable de la Commission des Titres d’Ingénieurs.


ENSIM Le Mans

L’École nationale supérieure d’ingénieurs du Mans (ENSIM), créée en 1995, est une école interne de l’université du Mans. 


ENSIP Poitiers

1971 : Habilitation des maîtrises de Sciences et Techniques : Traitement des eaux, Energétique et Matériaux de construction.
1981 : Habilitation de la maîtrise de Sciences et Techniques : Eclairage Acoustique et Climatisation.
1984 : Habilitation par la CTI à délivrer le titre d’ingénieur dans les 4 spécialités : Eau et Environnement, Génie Civil, Eclairage Acoustique Climatisation, Energétique, l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers (ESIP) est créée.
2002 : Habilitation par la CTI à délivrer le titre d’ingénieur dans une cinquième spécialité : Génie Electrique et Automatique.
2009 : Modification de l’offre de formation ; Fusion des 5 diplômes en 2 diplômes : Eau et Génie Civil, Energie.
2010 : l’ESIP devient ENSI Poitiers : Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers. 


ENSISA Mulhouse

L’École Nationale Supérieure d’Ingénieurs Sud Alsace a été créée en 2006 par fusion de :
– l’ENSITM (Ecole Nationale Supérieure des Industries Textiles de Mulhouse), créée en 1861, qui deviendra tour à tour Ecole Théorique et Pratique de Tissage Mécanique (ETPTM) puis l’EFTMM, l’ESFTBM, puis la Staatliche Textilfachschule, et  à nouveau l’ESFTBM puis ESITM pour en 1977 devenir une ENSI et prendre le nom ENSITM
– et de l’ESSAIM (Ecole Supérieure des sciences Appliquées pour l’Ingénieur de Mulhouse), créée en 1989 (décret du 5 Juillet 2006), sous le statut d’école interne à l’Université de Haute Alsace.
L’ENSISA a gardé son statut d’ENSI et forme des ingénieurs en trois ans. – 


ENSMM Besançon

Création en 1928 de l’Institut de Chronométrie et Micromécanique de Besançon. Habilitation en 1934 de la CTI. En 1961 l’Institut devient l’Ecole Nationale Supérieure de Chronométrie et Micromécanique de Besançon (ENSCMB) et en 1980 l’école prend son nom actuel Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques ENSMM. – 


ENSPM- IFP School Rueil-Malmaison

L’École nationale supérieure du pétrole et des moteurs (ENSPM) a été créée en 1954. C’est une composante de l’Institut français du pétrole et des énergies nouvelles (IFPEN). l’ENSPM est une école de spécialisation.
Création de l’Institut du pétrole à Strasbourg, en 1922.
En 1924 : création de l’École nationale supérieure du pétrole et des combustibles liquides, rattachée à la faculté des sciences de Strasbourg
En 1931 Création à Paris de l’École des applications mécaniques des combustibles liquides (EAMCL) qui devient en 1936 l’École nationale  des moteurs à combustion et à explosion.
1939 : L’université est déplacée à Clermont-Ferrand dans les bâtiments de l’Institut de chimie et de technologie industrielle.
1940 les sections « géologie » et « forage » sont installées à Toulouse.
1941 Reprise des cours de l’École nationale des moteurs à combustion et à explosion.
1944 : Création de l’Institut français du pétrole (IFP).
1945 Les services de chimie de l’ENSPCL, sous la direction de M. Weiss se réinstallent à Strasbourg.
1946 : Rattachement des deux écoles à IFP Energies nouvelles. Les enseignements sont dispensés à Paris (moteurs, prospection), Toulouse (forage et production), Strasbourg (chimie) et Saint-Maur (exploitation des gisements pétroliers).
1947 : installation à Rueil-Malmaison
1954 Création de l’École nationale supérieure du pétrole et des moteurs par la fusion de l’École nationale supérieure du pétrole et des combustibles liquides et de l’École nationale des moteurs à combustion et à explosion.


ENSSAT Lannion

Créée en 1986, l’École nationale supérieure des sciences appliquées et de technologie est rattachée à l’Université Rennes1 et est  associée de l’Institut Mines-Télécom. Elle est installée à Lannion, cœur du bassin français des télécommunications, siège du pôle de compétitivité Images et Réseaux. 


ENSTA Bretagne Brest

Créée en 1971, l’ENSTA Bretagne (anciennement ENSIETA) était destinée, à l’origine, à former exclusivement des ingénieurs militaires pour les besoins du ministère de la Défense. 1975 : le diplôme de l’ENSIETA est reconnu par la Commission des Titres d’Ingénieurs. L’école s’est ouverte aux civils à partir de 1990 et la montée en puissance des effectifs civils s’est faite rapidement en parallèle à une décroissance des effectifs militaires liée aux restructurations de l’appareil de défense. – 


ENSTA ParisTech

L’origine de l’École remonte à l’initiative d’Henry-Louis Duhamel du Monceau, inspecteur général de la Marine, qui identifia le besoin d’apporter aux maîtres-charpentiers de marine les connaissances théoriques, notamment en mathématiques et physique, nécessaires à une meilleure compréhension de leur métier. Après avoir créé une première école à Toulon, il la transfère à Paris en 1741, date qui marque l’origine de l’établissement. Après qu’elle eut connu une éclipse de 7 ans pour des raisons budgétaires, il parviendra en 1765 à convaincre le duc de Choiseul de la réouvrir. Il continuera à la diriger tout le restant de sa vie.

Hébergée à l’époque dans le palais du Louvre, l’École des Ingénieurs-Constructeurs de Vaisseaux Royaux ainsi créée deviendra par la suite l’École Nationale Supérieure du Génie Maritime.

Elle fusionna en 1940 avec l’Ecole d’Application de l’Artillerie Navale. En 1970, la Délégation Générale pour l’Armement fusionna l’école avec trois autres de ses établissements, également écoles d’application de l’Ecole Polytechnique :

  • L’École Nationale Supérieure des Poudres, créée en 1900,
  • L’École Nationale Supérieure de l’Armement, fondée en 1936,

L’École des Ingénieurs Hydrographes de la Marine, elle aussi d’ancienne tradition. –  


ENSTIB Epinal

1980 Création de MST (Maîtrise de Sciences et Techniques) du Bois dans les locaux du CESS (Faculté des sciences) à Epinal. 1986 Création de l’ESSTIB (Ecole Supérieure des Sciences et des Technologies des Industries du Bois). 1986 Création du CRITT Bois (Centre Régional d’Innovation et de Transfert de Technologies), interface industrielle de l’ENSTIB. 1994 L’ESSTIB devient l’ENSTIB (Ecole Nationale Supérieure des Technologies et Industries du bois). – 


ENTPE Vaux-en-Velin

Créée en 1954, l’école était hébergée dans les locaux de l’Ecole Spéciale des Travaux Publics (ESTP) à Paris et formait en deux ans des ingénieurs d’application. Habilitée par la CTI depuis 1971, son installation à Vaulx-en-Velin en 1975 a marqué le début d’une époque nouvelle. En 1987 les premiers élèves ingénieurs non fonctionnaires ont été accueillis, avec l’intention de les voir s’orienter vers les collectivités territoriales. 2007 : l’ENTPE devient un Etablissement Public à caractère Scientifique, Culturel et Professionnel (EPSCP). – 


EOST Strasbourg

Le premier cours de géologie fut dispensé à titre bénévole en 1830 par Philippe Louis Voltz. Polytechnicien et ingénieur du Service des Mines, il avait publié dès 1828 un « Aperçu de la topographie minéralogique de l’Alsace » et ébauché la première carte géologique de la région. La  chaire de Minéralogie et de Géologie fut créée en 1838 à la Faculté des Sciences de Strasbourg. A partir de 1872, les Sciences de la Terre comportèrent deux chaires : une chaire de Géologie et de Paléontologie et une chaire de Minéralogie et de Pétrographie.
Les débuts de la Physique du Globe remontent aux années 1880 avec la naissance de la sismologie et de la météorologie en Allemagne.
En 1919, le gouvernement français re-fonda l’Université de Strasbourg avec la même volonté politique que celle qui animait le gouvernement allemand de 1870 : une université de premier plan international, reprenant l’héritage de l’université allemande.
En Physique du Globe, Edmond Rothé fut nommé directeur de l’Institut de Physique du Globe. Par un décret de 1921, commun à celui qui créait le Bureau Central de Magnétisme Terrestre à l’Institut de Physique du Globe de Paris, le gouvernement confia à Edmond Rothé la direction du Bureau Central Sismologique pour la France et ses Colonies. En géologie, Georges Friedel fut le premier directeur de l’institut des Sciences géologiques

L’Ecole et Observatoire des Sciences de la Terre, créé par décret en 1997, est né de la volonté de réunir les anciens instituts de Physique du Globe et de Géologie de la Faculté des Sciences de Strasbourg. – 


EP – Ecole Polytechnique (X) Palaiseau

44 anciens uniformes XL’École est créée en 1794, sous le nom d’«École centrale des travaux publics» qui prendra le nom d’École polytechnique en 1795. Elle  est  hébergée dans l’ancien Palais Bourbon, l’École polytechnique est civile et les élèves sont externes. Les premiers étudiants étrangers suivent, dès 1798, des cours à  Polytechnique. Une cinquantaine d’élèves et une dizaine d’enseignants et personnels de l’École accompagnent le général Bonaparte en Égypte. Leurs relevés scientifiques contribueront à la publication de la Description d’Égypte.46 X recreation

1804 : Napoléon 1er donne à l’École son statut militaire et sa devise : « Pour la Patrie, les Sciences et la Gloire ». L’École s’installe sur la Montagne Sainte-Geneviève.
1814 : Les élèves  participent  à  la  défense  de  Paris  face  aux  troupes  de  la  coalition.
1817 : l’École est réorganisée par une ordonnance de Louis XVIII. L’École perd son statut militaire et elle est placée sous l’autorité du Ministre secrétaire d’État de l’Intérieur.
1830 Louis-Philippe instaure à nouveau le régime militaire. L’École retourne sous la tutelle du ministère de la Guerre.
1940-1944 Après l’armistice et l’occupation du Nord de la France, l’École s’installe à Lyon. Elle redevient civile. Les locaux de Paris sont affectés à la Croix Rouge.
1943 Après l’occupation de la zone libre, l’École retourne à Paris.
En septembre 1944, l’École polytechnique retourne sous l’égide du Commissariat à la guerre.

1959 La « botte recherche » est instituée par le Décret Guillaumat permettant aux élèves de s’engager directement dans la recherche, à la sortie de l’École. 1970 L’École devient un établissement public, sous tutelle du ministère de la Défense. 1972 : Premières candidates féminines – 1976 L’École s’installe à Palaiseau à proximité du CEA, du CNRS et de l’Université Paris-XI Orsay. En 2000 : la réforme du Cycle polytechnicien fixe la durée du cursus à 4 ans. – 2001 Intégration de l’École au Réseau ParisTech avec 11 grandes écoles parisiennes. – 


EPF  Sceaux

Créée en 1925 sous l’impulsion d’une ingénieure, Marie-Louise Paris, l’Ecole, alors appelée l’IEF (Institut électromécanique féminin), forme des jeunes filles au diplôme d’ingénieur électromécanicien. Elle comporte aussi une section courte, préparant aux postes de dessinatrice ou d’aide-ingénieur. En 1933, l’IEF devient l’École polytechnique féminine (EPF) avec l’ajout d’une année supplémentaire d’études (passant de 2 à 3 ans) et d’une section en aéronautique.

En 1938, l’EPF est habilitée par la Commission des titres d’ingénieur à délivrer le titre d’ingénieur diplômé et en 1943 elle est reconnue par l’État…. En 1994, l’école n’est plus réservée qu’aux seules femmes, les hommes y étant désormais admis. Malgré cela, et grâce à son historique et son expérience, l’EPF reste l’une des écoles où le taux de filles reste le plus élevé (40% contre 17% dans les autres écoles d’ingénieurs)….D’abord accueillie au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers), l’EPF doit en déménager pour finalement s’installer à Sceaux en 1956.  L’école a ouvert un campus à Troyes en 2010 puis à Montpellier en 2011.


EPITA Le KremlinBicêtre

L’École pour l’informatique et les techniques avancées (EPITA) est un établissement privé sous statut associatif, loi 1901. Créée en 1984, elle fait partie du groupe IONIS depuis 1994 et bénéficie d’une habilitation à délivrer un titre d’ingénieur diplômé depuis 2007. Elle n’est pas contractualisée avec l’Etat. Elle est implantée sur deux sites dans le Val-de-Marne (94) : au Kremlin-Bicêtre et à Villejuif – 


ESA Angers

L’ESA, Ecole Supérieure d’Agriculture, a été fondée en 1898 sous l’impulsion des professionnels du monde rural de l’Ouest de la France. La direction pédagogique fut confiée aux Jésuites jusque dans les années 1970. En 1927, en réponse au développement agricole de l’Ouest, l’ESA propose un enseignement agricole par correspondance : le CERCA (Centre d’Enseignement Rural par Correspondance d’Angers). Cette création, faite dans la mouvance de la Jeunesse Agricole Chrétienne (JAC), fut un succès immédiat.
Dans les années 50 : Elargissement de l’offre de formations en lien avec les mutations du monde agricole et rural, avec la création :
– du CFTV (Centre de formation de techniciens de la vulgarisation) – de l’IPAO (Institut de promotion agricole de l’Ouest) – de l’ESFA (Ecole supérieure de formation agricole), qui est ensuite devenue Agricadre.
La formation par apprentissage et la formation continue pour adultes ont diversifié et enrichi cette offre. Le Groupe ESA, structure commune de gouvernance et de gestion, naît du rassemblement de cette offre de formations – En 1984, la loi Rocard reconnait à l’enseignement agricole associatif privé une mission de service public.
Dans les années 90 Les formations se sont élargies vers d’autres thèmes : industries agroalimentaires, environnement, aménagement paysager, distribution, etc. Cet élargissement a aussi permis de s’adapter aux centres d’intérêt d’un public jeune de plus en plus urbain… –  


Ecole du Génie (ESAG) Angers

Lorsque prit fin la seconde guerre mondiale on hésita sur le choix de la garnison qui devait être celle de l’école du génie. Angers était  proche des autres écoles militaires avec lesquelles il était nécessaire de travailler en liaison étroite : l’école de Coetquidan d’une part et d’autre part les écoles d’application de l’arme blindée (Saumur) et du train (Tours), l’école s’installa le 1er octobre 1945 dans les bâtiments qui avaient abrité successivement le 2ème régiment d’artillerie pontonniers jusqu’en 1894, puis le 6ème régiment du génie qui s’installa alors à la caserne Verneau, à Angers également. L’école du Génie est une école d’application.
En 1995, il a été décidé de fusionner les deux écoles : l’école d’application du génie et l’école supérieure du génie militaire pour donner naissance à l’école supérieure et d’application du génie. En 2009, l’ESAG est rebaptisée Ecole du génie 


ESAIP Saint-Barthélémy-d’Anjou

1988 : Création de l’Institut Supérieur d’Action Internationale et de Production (ISAIP), à Saint-Barthélémy d’Anjou.
L’École supérieure angevine d’informatique et de productique (ESAIP) constitue une des structures du Groupe ESAIP au même titre que l’Institut supérieur (SUP’ESAIP) et le Centre de formation Continue (CFC ESAIP).
Le Groupe a été créé par la Fondation La Salle.
L’ESAIP, établissement privé sous statut associatif, a été habilité à délivrer le titre d’ingénieur diplômé à partir de la rentrée 1998. L’école est positionnée sur 2 sites : celui d’Angers où se déroule l’ensemble des 3 années de la formation de toutes les spécialités et celui de Grasse qui héberge les 2 premières années de la spécialité « Sécurité et prévention des risques ». Entre 2003 et 2008 le groupe ISAIP-ESAIP change de nom et d’identité visuelle pour devenir le groupe ESAIP .


ESB Nantes

L’Ecole Supérieure du Bois a été créée à Paris en 1934 pour répondre aux attentes des professionnels et des institutions, son objectif est double : donner au Corps des Ingénieurs du Génie Rural des Eaux et Forêt (IGREF) une réelle connaissance de la transformation du bois, et former des ingénieurs des Arts et Métiers au matériau bois. 1958 : Son diplôme d’ingénieur est reconnu par l’Etat. L’école déménage pour Nantes en 1993 – 


ESBS Strasbourg

L’Ecole Supérieure de Biotechnologie de Strasbourg (ESBS) a été fondée en 1982. Elle devient trinationale en 1988 (France, Suisse, Allemagne) et le diplôme délivré est reconnu dans les trois pays. Cette situation, unique dans le cadre français, résulte de la politique menée depuis par l’ULP puis l’Université de Strasbourg (Unistra) et la Région Alsace en matière de coopération transfrontalière avec les universités du Rhin supérieur. Les collectivités territoriales d’Alsace (Conseil Régional, Conseil Général et Communauté urbaine de Strasbourg) ont pris en charge la construction des locaux de l’ESBS sur le campus d’Illkirch (1994). Cependant, en 2010, suite à la fusion des universités et des centres de recherche technologique de Karlsruhe pour la création du Karlsruher Institut für Technologie (KIT),  celui-ci a souhaité repositionner son partenariat en le ciblant sur de nouvelles formations à Karlsruhe et s’est retiré de la collaboration avec l’ESBS. L’ESBS est une école interne à l’université de Strasbourg. – 


ESCOM Compiègne

Issue de la Faculté des Sciences de l’Institut Catholique de Paris, l’ESCOM a été créée en 1957, sous l’impulsion du père Pierre Mastagli et avec le soutien de l’Abbé Lamure. L’idée est de répondre à la demande des industriels, en formant des ingénieurs spécialisés en chimie, qu’elle soit « organique » (donc dirigée plutôt vers l’industrie pharmaceutique) ou « minérale » (à destination de la « chimie lourde »). En 1991 elle déménage à Cergy-Pontoise et en 2008 à Compiègne. Le partenariat avec l’UTC est renforcé par le déménagement en 2008 de l’ESCOM à Compiègne : l’ESCOM et l’UTC créent une équipe de recherche commune orientée sur la chimie verte et les agro-ressources. – 


ESEO Angers

1956 : naissance à Angers de l’Ecole Supérieure d’Electronique de l’Ouest par le Chanoine Jean Jeanneteau (depuis 2005 l’Ecole ne décline plus l’acronyme original, mais utilise : ESEO Grande Ecole d’ingénieurs généralistes). 1962 : 1ère habilitation par la CTI. 1969 : création de la FESIC par l’ESEO et 16 autres écoles françaises – 1978 : reconnaissance par l’Etat (d’utilité publique l’année suivante). – 2008 : naissance du site à Dijon.  2012 : nouveaux CAMPUS à Angers et Paris St Cloud.


ESFF Sèvres

Le 8 janvier 1924, l’école supérieure de fonderie reçoit sa première promotion dans les locaux de l’ENSAM à Paris. Elle est reconnue par l’Etat en 1925. Elle occupera ces locaux jusqu’en janvier 1949, pour s’installer ensuite à la Sorbonne de 1949 à 1952, puis dans le 13e arrondissement de Paris  de 1952 à 1955.
Le 8 septembre 1955, l’ESF s’installe dans ses propres murs, à Bagneux. Elle y séjournera pendant 22 ans, avant d’emménager à Sèvres. En 1995, L’ESFF intègre le Pôle Universitaire Léonard de Vinci jusqu’en 2008 où elle rejoint les laboratoires de recherche du Centre technique des industries de la fonderie (Sèvres). Suite aux besoins exprimés plus récemment par les industriels de la métallurgie en matière de formation des ingénieurs, elle s’est ouverte aux métiers de la mise en forme par déformation plastique. Le 1er avril 2005, l’ESF devient officiellement l’école supérieure de fonderie et de forge (ESFF). 2010 : l’Ecole est rattachée à SUPMECA.  – 


ESIAB Brest

L’Ecole Supérieure d’Ingénieurs en Agroalimentaire de Bretagne atlantique (ESIAB), est une école interne de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO). Créée sous ce nom en 2012, elle est issue du regroupement de deux formations d’ingénieurs préexistantes, l’Ecole Supérieure de Microbiologie et Sécurité Alimentaire de Brest (ESMISAB), école d’ingénieurs crée en 1991 et la Formation d’Ingénieurs des Techniques de l’Industrie Agro-Alimentaire (FITI2A) créée à Quimper en 1999 dans le cadre d’un partenariat entre l’UBO et l’IFRIA Bretagne. 


ESIEA Paris

Août 1958 Paris, rue Antoine Dubois, Maurice Lafargue crée officiellement l’ESEA (Ecole Supérieure d’Applications Electroniques et Automatismes). Visionnaire et pédagogue, Maurice Lafargue développe une pédagogie de la réussite très novatrice pour l’époque afin de former des ingénieurs généralistes et polyvalents. En 1968, avec la montée en puissance des technologies informatiques, l’école se transforme en ESIEA (Ecole Supérieure d’Informatique Electronique Automatique). En 1985, la Commission des Titres d’Ingénieurs (CTI) habilite l’école à délivrer le diplôme d’ingénieur ESIEA. En 2013, refonte des enseignements de 4A (2ème année du cycle ingénieur) autour de deux grandes filières : Systèmes d’Information (SI) et Systèmes Embarqués (SE). – 


ESIEE Amiens

1992 : 1ère promotion d’élèves – 1994 : Habilitation du titre d’ingénieur – 2000 : Ouverture de la 3ème option Génie des Réseaux Informatiques et Télécommunications – 2001 : Création du Centre de Recherche et Développement et de Transfert Technologique –  2010 : Ouverture de la 4ème option Génie Energétique du Bâtiment par la voie de l’apprentissage. – 


ESIEE Paris

ESIEE Paris est un service de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris-Ile de France. Elle a été créée suite au rachat par la CCIP, en 1968, de l’Ecole Bréguet qui délivrait le titre d’ingénieur diplômé depuis 1934.
En 2007, elle est l’un des membres fondateurs, avec l’Ecole des Ponts, l’Université Paris-Est Marne la Vallée, l’Université Paris 12 Val de Marne et le Laboratoire Centrale des Ponts et Chaussées, de « Université Paris-Est », un établissement public de coopération scientifique créé dans le cadre du Pacte pour la recherche.

  • En 2007, l’ISTM se rapproche du groupe ESIEE et devient l’ESIEE Management.
  • En 2008, l’ESIEE devient ESIEE Paris et l’école d’ingénieurs est renommé ESIEE Engineering. ESIEE n’est donc plus déclinable en École supérieure d’ingénieurs en électrotechnique et électronique.

En 2012, ESIEE Engineering et ESIEE Management fusionnent. L’école est désormais nommée uniquement ESIEE Paris.


ESIGELEC Saint-Etienne-du-Rouvray

1901: Création par Alexandre CHARLIAT à Paris de l’Ecole Pratique d’Electricité Industrielle qui deviendra l’EEIP (Ecole d’Electricité Industrielle de Paris) – 1936 : Habilitation par la CTI du diplôme d’Ingénieur – 1978 : Installation à Rouen – 1980 : EEIP devient l’ESIGELEC soutenue par la CCI de Rouen et l’Association des anciens élèves – 2011 : Convention d’association avec le Groupe des Ecoles des Mines. – 


ESIGETEL Villejuif

Elle a été créée en 1986 sous l’impulsion de la CCI de Melun (Chambre de Commerce et d’Industrie de Melun) grâce au parrainage de l’ESIGELEC de Rouen. Son nom initial fut « École Supérieure d’Ingéniorat en Génie Électrique et Télématique ». En 1988, elle prit son autonomie et devint un établissement autonome nommé « École Supérieure d’Ingénieurs en Informatique et Génie des Télécommunications » et administré par la CCI de Melun. En 1991, l’école est habilitée, pour la première fois, par la CTI à délivrer le titre d’ingénieur ESIGETEL. L’ESIGETEL restera une école consulaire jusqu’au 17 juin 2006, date à laquelle l’école change de structure et évolue vers un statut associatif de loi 1901. En 2011, l’ESIGETEL se rapproche d’une autre école d’Ingénieurs, l’EFREI, en juillet 2012, l’ESIGETEL quitte la Seine-et-Marne pour s’installer aux portes de Paris, à Villejuif. – 


ESILV Paris-la-Défense

Ecole privée, fondée en 1995 à l’initiative du Conseil Général des Hauts-de-Seine, l’École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci (ESILV) a été habilitée par la CTI en 2003 à délivrer le diplôme d’ingénieur. Le Pôle Léonard de Vinci rassemble trois écoles délivrant des diplômes reconnus : l’EMLV (école de Management), l’ESILV (école d’Ingénieurs) et l’IIM (école des métiers de l’Internet et du Multimédia) faisant partie de l’association Léonard de Vinci.


ESIPE-MLV (Université de Marne-la-Vallée)

Créée en 1991, l’université de Marne-la-Vallée, pluridisciplinaire hors santé, est structurée en 12 composantes dont une UFR dédiée aux formations d’ingénieur, cette même année est également créée l’association et le CFA Ingénieurs 2000.
En 2002 Les formations d’ingénieur sont regroupées au sein de l’UFR Ingénieurs 2000. En 2011 L’UFR Ingénieurs 2000 devient ESIPE-MLV. En 2012 La formation IMAC intègre l’ESIPE-MLV, c’est la 7ème filière de formation à l’ESIPE-MLV. – 


ESIR Rennes

L’Institut de Formation Supérieure en Informatique et Communication (IFSIC) est créé en 1985 et rattaché à l’Université Rennes 1. L’ESIR est une école interne à l’Université de Rennes 1 au sens de l’article L713-9 du code de l’éducation, créée au 1er septembre 2010. Elle reprend les thématiques du diplôme d’ingénieur de l’IFSIC (STIC)  en les approfondissant et en y ajoutant de nouvelles (matériaux).


ESIReims

Suite à l’avis favorable de la CTI, le Ministère de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur a créé, par arrêté du 7 septembre 1987, le Diplôme d’ingénieur de l’Université de Reims en Emballage et Conditionnement. La création de l’Ecole Supérieure en Emballage et Conditionnement (ESIEC) est intervenue deux années après, par décret du Premier Ministre, en date du 23 octobre 1989. Depuis 1991, l’ESIEC est installée sur le Technopôle Henri Farman de Reims, à proximité de la Faculté des Sciences, de l’IUT. En 2011 l’ESIEC change de nom et devient ESIReims avec une deuxième spécialité Thermique et Energétique. – 


ESIREM Dijon

L’ESIREM est un établissement public qui a été créé en 1991 par l’université de Bourgogne sous le nom de FIRST (Formation d’ingénieurs de recherche en sciences et technologie des matériaux). FIRST a été rebaptisée ESIREM en 1998. Elle est maintenant  l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs en Matériaux-Développement Durable et en InfoTronique, est membre du Polytechnicum Bourgogne Franche-Comté, et délivre deux diplômes d’ingénieur habilités par la CTI. 


ESIROI La Réunion

L’ESIDAI a été la préfiguration de l’actuelle ESIROI. En effet l’école d’ingénieurs réduite au seul département agroalimentaire obtient son habilitation en 2006. La CTI, réunie en séance plénière le 9 mars 2010, fixe les intitulés des 3 spécialités de l’ESIROI et les durées d’habilitation qui leur sont attachées :

  • Agroalimentaire
  • Informatique et Télécommunications (à partir de la rentrée 2009)
  • Construction Durable (à partir de la rentrée 2010), dénommée « Bâtiment et Energie » depuis le renouvellement d’habilitation de 2012 par la CTI.

La spécialité Agroalimentaire est la première à avoir vu le jour en 2006 (sous les intitulés successifs ESIDAI puis ESIROI). Elle s’installe en septembre 2007, dans ses locaux du Parc Technologique universitaire (PTU), au cœur du site nord de la Technopole de La Réunion. – 


ESITC Cachan

Les Fédérations Nationales des Travaux Publics (FNTP) et du Bâtiment (FFB), représentant l’ensemble de la profession, ressentent depuis plusieurs années déjà le besoin de créer un nouveau cursus d’ingénieur, elles font appel à l’ESTP. L’École est habilitée le 12 mai 1992 sous le nom d’École Supérieure des Travaux Publics de Cachan (ESTP Cachan). L’École change de nom en 1997 pour devenir Ecole Supérieure d’Ingénieurs des Travaux de la Construction de Cachan (ESITC). – 


ESITC Caen

L’ESITC Caen est une grande école d’ingénieurs créée en 1993 par l’ESTP, les fédérations du BTP et les collectivités territoriales. – 


ESITC Metz

L’Ecole Supérieure d’Ingénieurs des Travaux de la Construction de METZ est un établissement d’enseignement supérieur privé, créé en 1992 à la demande des entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP), avec l’appui de l’ESTP et des Collectivités Locales. 


ESITech (Université de Rouen) Saint-Étienne-du-Rouvray

Décembre 2013 : l’ESITech a obtenu un avis favorable de la Commission des Titres d’ingénieurs pour une durée de 3 ans. Mars 2014 : le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche a validé l’avis de la CTI. L’Université de Rouen est désormais habilitée à délivrer le diplôme d’ingénieur dans les spécialités ‘Génie physique’ et ‘Technologies du vivant’. 1er septembre 2014 : l’ESITech accueille ses premiers étudiants. 


ESITPA Mont-Saint-Aignan

1919 : Paris, création de l’ITPA (Institut technique de pratique agricole). 1948 : Reconnu par l’Etat, l’institut délivre le diplôme d’ingénieur technique d’agriculture. 1964 : Habilitée par la Commission des titres d’ingénieur (CTI), l’école délivre le diplôme d’ingénieur en agriculture. 1970 : L’ITPA devient l’E.S.I.T.P.A (Ecole supérieure d’ingénieurs et de techniciens pour l’agriculture), pour devenir en 2007 l’ESITPA école d’ingénieurs en agriculture. 1er janvier 2016 : fusion avec Lasalle-Beauvais  – 


ESIX Normandie Cherbourg-Caen

L’Ecole supérieure d’ingénieurs de l’Université de Caen (ESIX Normandie) a été créée en 2009 sous statut d’école interne à l’Université de Caen par fusion de l’Ecole d’ingénieurs de Cherbourg (EIC) créée en 1992 avec la formation d’ingénieur spécialité « Agroalimentaire » de l’Université de Caen. Elle est localisée sur les sites de Caen, Cherbourg et Saint Lô. – 


ESM Coëtquidan (St-Cyr)

42 entree ecole St CyrC’est à Napoléon Bonaparte que l’on doit la création de l’Ecole Spéciale Militaire (ESM) de Saint-Cyr en 1802. Elle s’installe à Saint-Cyr près de  Versailles en 1808. Pendant 150 ans, elle y forma l’élite des officiers.

Après la guerre de 1870, les landes de Coëtquidan furent utilisées comme champ de tir d’artillerie, puis terrain de manœuvre lorsque fut créé, au début du siècle, le camp actuel. Pendant la guerre de 1914-1918 les unités mobilisées y vinrent en grand nombre s’instruire avant leur départ pour le front. Les bâtiments de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr (près de PARIS) ayant été détruits en 1944, la décision est prise en 1945 de former provisoirement les officiers d’active de l’armée de Terre à Coëtquidan, dans une école baptisée École Spéciale Militaire Interarmes. A partir de 1961, a lieu la séparation en deux écoles distinctes :

  •  l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr (ESM);
  •  l’École Militaire Interarmes (EMIA).

Ces deux écoles forment des officiers des armes.  La formation d’ingénieurs a été mise en place en 1970.


ESME Sudria Paris

1905 : Joachim Sudria fonde l’ESME Sudria, avec un cursus de 2 ans après le baccalauréat. 1914-1919 : La première guerre mondiale faillit mettre un terme à l’existence de l’ESME Sudria. 1922 : L’École est reconnue par l’Etat et porte la durée de la scolarité à trois ans après le baccalauréat. 1920-1935 : L’École revit et se développe en multipliant les effectifs de ses promotions par 9 en trois ans. 1936 : La CTI vient d’être créée, elle habilite l’École à délivrer le diplôme d’Ingénieur Mécanicien-Electricien de l’ESME Sudria. 1941 : Pierre Doceul, ancien élève de l’École Polytechnique et Ingénieur de l’Armement, gendre de Joachim Sudria est appelé au poste de Directeur-adjoint. 1949 : Sous son impulsion, complétant la division Génie Électrique (appelée Courants forts), s’ouvre une division Électronique (dite Courants faibles) délivrant le diplôme d’Ingénieur Électronicien de l’ESME Sudria. Les deux diplômes d’Ingénieur des deux divisions attendront quinze ans pour ne plus donner que le titre d’Ingénieur de l’ESME Sudria. 


ESPCI ParisTech

À la fin du 19e siècle, suite à l’annexion de l’Alsace et de la Lorraine par l’Allemagne, la France perd sa meilleure Ecole de chimie, qui était l’École de Chimie de Mulhouse. Un industriel alsacien, Charles Lauth , tente dès 1878 d’obtenir des pouvoirs publics la création d’une Grande École. L’École de Physique et de Chimie Industrielles de la Ville de Paris voit le jour en 1882 , prendra le nom d’ESPCI en 1948 et le nom actuel d’ESPCI ParisTech en 2008. Dès la fondation de l’École, ses créateurs ont insisté sur la pluridisciplinarité de la formation dispensée à l’École ; l’introduction de l’enseignement de la biologie en 1994 n’en est que la continuité. Le Conseil de la Ville de Paris a voté la gratuité de l’enseignement à l’ESPCI, et ce depuis son origine, ce qui ouvre les portes de l’École à toutes les classes sociales de la population.
L’École devient rapidement le point de rencontre de scientifiques de haut niveau. Pierre et son frère Jacques Curie, Marie Curie, ainsi que de nombreux anciens élèves, se sont distingués, parmi lesquels Paul Langevin (7e promotion), physicien et inventeur, Frédéric Joliot-Curie (39e promotion), fondateur du CEA , inventeur de la première pile atomique , Prix Nobel de Chimie en 1935 avec sa femme Irène, Georges Champetier (41e promotion), père de la chimie macromoléculaire en France, etc.
En 1976, Pierre-Gilles de Gennes devient Directeur de l’École après Georges Champetier (41e promotion, Académie des Sciences 1960). Il reçoit le Prix Nobel de Physique en 1991. Georges Charpak est nommé professeur associé en 1980 et reçoit le Prix Nobel de Physique en 1992. –  


ESSA Yutz

1930 : L’ESSA (École supérieure de la soudure autogène) est un établissement d’enseignement supérieur privé fondé en 1930 par l’Institut de Soudure. Objectif : former des cadres techniques supérieurs à l’assemblage des métaux par tous les modes de soudure autogène. Devenue École supérieure du soudage et de ses applications en 1980, l’ESSA a reçu en 2013 sa quatre-vingt-deuxième promotion. 


ESSTIN Nancy

1960 : Création de l’ISIN (Institut des Spécialités Industrielles de Nancy) qui devient rapidement l’Institut des Sciences de l’Ingénieur de Nancy.
1985 : L’ISIN devient ESSTIN (Ecole Supérieure des Sciences et Technologies de l’Ingénieur de Nancy).
1989 : Délocalisation partielle de l’option Maintenance à Blois et création d’une option Ingénierie de la Communication à Nice (voir Polytech Nice).
1991 : L’antenne de Nice devient l’ESINSA (Ecole Supérieure d’Ingénieurs de Nice Sophia-Antipolis,  qui fusionnera ultérieurement avec l’ESSI pour devenir Polytech Nice).
1993 : L’antenne de Blois devient l’EIVL (Ecole d’Ingénieurs du Val de Loire) qui recrute aussi sur Concours commun avec l’ESSTIN (l’EIVL deviendra par la suite INSA Centre Val de Loire). 


ESTACA Levallois-Perret

1925 : Fondation par René Bardin de l’ESTACA avec la volonté de former plus d’étudiants pour l’aéronautique et l’automobile. En 1953 c’est la reconnaissance par l’Etat. 1979 : installation à Levallois-Perret (92) – 1986 : habilitation par la CTI. 2003 : Ouverture d’ESTACA Campus-Ouest à Laval. 2012 : intégration dans le groupe ISAE. En 2015 : Ouverture du nouveau campus ESTACA – Saint-Quentin-en-Yvelines. – 


ESTIA Bidart

Créée en 1985 à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie Bayonne Pays Basque, à partir de l’institut de formation IDLS, l’Ecole Supérieure des Technologies Industrielles Avancées (ESTIA) délivre le titre d’Ingénieur depuis 1996, date de son habilitation par la CTI. Actuellement, l’école est rattachée à l’Université Bordeaux-I et à l’Université de Pau. Au cours de l’année 2010, elle a engagé le processus de rattachement avec Arts & Métiers ParisTech. 


ESTP Paris

En 1891 le conducteur de travaux des Ponts et Chaussées Léon Eyrolles crée un cours par correspondance dénommé « l’École chez soi », puis une école qui porte le nom d’Ecole des Travaux Publics, installée dans le quartier latin. L’histoire de l’Ecole Spéciale des Travaux publics débute alors, qui verra se succéder à sa tête plusieurs générations d’Eyrolles (Marc, puis Serge jusqu’en 2008). Rattachement en 1999 à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers et et entrée de l’ESTP Paris dans la Communauté Université Paris-Est. – 


Grenoble INP (ENSE3, Génie industriel, ENSIMAG, ESISAR, PAGORA, PHELMA)

1970 Création des Instituts Nationaux Polytechniques. L’Institut national polytechnique de Grenoble, qui fédère six écoles, est créé par décret du 23 décembre 1970. Louis NÉEL, prix Nobel de Physique, en devient le premier président en 1971. en 2008 refonte des écoles de l’INPG.
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Grenoble INP-ENSE3 (issue de la fusion en 2008 de l’ENSHMG (Ecole nationale supérieure d’hydraulique et de mécanique de Grenoble, créée en 1929) et l’ENSIEG (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs électriciens de Grenoble, créée en 1899)
Grenoble INP-Génie industriel est issu du regroupement en 2008 de l’ENSGI, créée en 1990 () et d’une partie de l’ENSHMG (créée en 1929).
Grenoble INP-ENSIMAG , l’Ecole nationale supérieure d’informatique et de mathématiques appliquées de Grenoble, créée en 1960),  est issue du regroupement en 2008 de l’ENSIMAG () et du département de Télécom de l’INPG.
Grenoble INP-ESISAR Valence (Ecole supérieure d’ingénieurs en systèmes industriels avancés Rhône-Alpes), fondée en 1995, est la seule école en 5 ans de l’INP Grenoble.
Grenoble INPPAGORA : 1907 L’Union des Fabricants de Papier crée l’École Française de Papeterie (EFP) pour « la Formation d’Ingénieurs et de Conducteurs de Machine ». L’EFP et l’IEG créent l’Institut Polytechnique de Grenoble (IPG). 1947 Création des Écoles Nationales Supérieures d’Ingénieurs : l’EFP, école privée, est assimilée ENSI en 1950. 1973 L’EFP est rattachée à l’INPG. 1988 : L’école prend officiellement le nom « École Française de Papeterie et des Industries Graphiques » (EFPG), habilitée par la CTI. 2008 L’EFPG devient Grenoble INP-Pagora, l’École internationale du papier, de la communication imprimée et des biomatériaux, l’une des six écoles de l’Institut Polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
Grenoble INP-PHELMA  est issue de la fusion en 2008 de l’ENSEEG (Ecole nationale supérieure d’électrochimie et d’électrométallurgie de Grenoble, créée en 1921), de l’ENSPG (Ecole Nationale Supérieure de Physique de Grenoble, créée en 1985)  et de l’ENSERG (créée en 1957 sous le nom l’Ecole d’Ingénieurs Electroniciens – EIEG, qui devient en 1968 Ecole Nationale Supérieure d’Electronique et de Radioélectricité de Grenoble)


HEI Lille

L’École des hautes études d’ingénieur (HEI Lille), créée en 1885 au sein de l’Université Catholique, est située dans les locaux de la Faculté Libre des Sciences de Lille. C’est une école gérée par une association selon la loi de 1901 ; elle a été habilitée par la CTI pour la première fois le 2 avril 1935 et a été reconnue par l’État le 18 juin 1968. En 2005, elle a intégré la formation de l’École Supérieure des Techniques Industrielles et des Textiles (ESTIT). 2008 : Intégration de l’école dans l’Institut Polytechnicum Lille.  – 


ICAM (Lille – Nantes – Toulouse)

L’Icam (Institut Catholique d’Arts et Métiers), site de Lille est le premier site qui fut créé en 1898 par deux industriels du Nord. Au delà de l’école d’ingénieurs et des ateliers de production, l’Icam a développé dès 1908 des cours de formation professionnelle assurant ainsi une promotion et une mixité sociale qui sont toujours aujourd’hui très ancrées dans l’éthique de l’école. La formation d’ingénieurs par l’apprentissage a vu le jour à Lille au début des années 90 puis à Toulouse, La Roche-sur-Yon et Vannes. 1935 : Habilitation officielle du titre d’ingénieur par l’Etat et la CTI. 1953 : Le Père MOTTE, en accord avec le Père Provincial, décide de porter la durée des études à 4 ans. 1963 : La durée des études est portée à 5 ans après bac. 1981 : Guy CARPIER prend la succession du Père DEBEUNNE en tant que premier Directeur laïc. 1990 : La première promotion entre en Icam Nantes. 1995 : ouverture de l’Icam Toulouse et entrée de la 1ère promotion. – 


IFMA Aubière

1991 : Création de l’Institut Français de Mécanique Avancée. 2010 : L’IFMA devient école associée au groupe des Ecoles des mines dont les Ecoles seront rattachées à l’Institut Mines-Télécom en 2012.
2016 : 1er janvier : L’ENSCCF et l’IFMA fusionnent pour devenir SIGMA – 


INP Toulouse

1970 Création des Instituts Nationaux Polytechniques.

INP-ENIT Tarbes : Créée, et habilitée par la CTI, en 1962, l’Ecole Nationale d’ingénieurs de Toulouse est, depuis 2002, rattachée à l’Institut national polytechnique de Toulouse (INPT). Elle est implantée à Tarbes dans les Hautes-Pyrénées. Elle est membre associé du PRES « Université de Toulouse ». Elle est membre du réseau des ENI (Brest, Metz, St-Etienne).
INP-ENM Toulouse : Ecole Nationale de Météorologie : créée en 1958, 1ère habilitation par la CTI : 1974
INP-ENSAT Toulouse : Fondée en 1909 par Paul Sabatier, Prix Nobel de Chimie, l’Institut Agricole de Toulouse s’installe Avenue de Muret en 1948 et devient l’Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, elle fut habilitée pour la première fois par la CTI en 1984. En 1970, l’ENSAT participe à la création de l’Institut National Polytechnique de Toulouse, avec l’ENSEEIHT et l’ENSIACET.
INP-ENSEEIHT Toulouse (Ecole Nationale Supérieure d’Electrotechnique, d’Electronique, d’Informatique, d’Hydraulique et des Télécommunications) créée en 1907, habilitée par la CTI en 1934
INP-ENSIACET Toulouse : Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs en Arts Chimiques Et Technologiques créée le 1er janvier 2001 – issue de la fusion de l’École Nationale Supérieure d’Ingénieur de Génie Chimique (ENSIGC [ex IGC] créée en 1949) et de l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Toulouse (ENSCT créée en 1906)
INP-ei PURPAN Toulouse fut créée en 1919, l’école d’ingénieurs PURPAN (anciennement ESAP – Ecole Supérieure d’Agriculture de Purpan). Elle est habilitée par la CTI en 1964


INSA Centre-Val-de-Loire  Blois-Bourges

L’INSA CVL a été créé par décret n°2013-521 du 19 juin 2013 ; il résulte du regroupement de l’ENSI Bourges (créé en 1997) et de l’ENIVL (créée en 1993). Période du 21 Juin 2013 – 31 décembre 2013 : Coexistence des trois établissements, l’INSA Centre Val de Loire, l’ENI du Val de Loire et l’ENSI de Bourges.
1er janvier 2014 : Fusion de l’ENIVL et de l’ENSIB dans l’INSA Centre Val de Loire.
1er janvier 2015 : L'(École Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage) de Blois ENSNP devient un département de l’INSA CVL proposant une formation de paysagiste (Diplôme d’État de Paysagiste (DEP) conférant le grade de master)
L’ENSIB dès ses débuts a 2 filières (formation sur 3 ans) : Maîtrise des Risques Industriels (MRI) et Sécurité et Technologies Informatiques (STI) . L’EIVL proposait une formation en 5 ans et un approfondissement (option) en 5e année. 


INSA Lyon

L’INSA de lyon est né le 12 novembre 1957 : création de l’INSA de Lyon par le recteur Jean Capelle et le philosophe et Directeur de l’enseignement supérieur technique Gaston Berger. Son originalité résidait dans son mode de recrutement des élèves : sur titre après le baccalauréat.  2004 : intégration de l’Ecole Supérieure de Plasturgie d’Oyonnax et création d’un site plasturgie INSA de Lyon dans l’Ain.


INSA Rennes

Création en 1966 de l‘Institut National des Sciences Appliquées de Rennes. –


INSA Rouen

1917 : Création de l’Institut de Chimie de Rouen – ICR. 1959 : Création de l’Institut National Supérieur de Chimie Industrielle de Rouen. 1985 : Création de l’INSA de Rouen membre du réseau INSA. –


INSA Strasbourg

L’école, dont les origines remontent à 1875, a rejoint le groupe INSA en 2003. Grande école d’ingénieurs et d’architectes sous la tutelle du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, ses formations d’ingénieurs sont accréditées par la commission des titres d’ingénieur, celle d’architecte est accréditée par la commission culturelle, scientifique et technique du ministère de la culture.
1875 : Rentrée officielle de l’Ecole d’hiver pour techniciens du Génie Rural.  1895 : L’établissement prend le nom d’École Technique Impériale. 1919 : L’Ecole Technique Impériale devient Ecole Nationale Technique de Strasbourg (ENTS). 1950 : L’Ecole Nationale Technique de Strasbourg (ENTS) et transformée en Ecole Nationale d’ingénieurs de Strasbourg (ENIS). 1966 : L’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Strasbourg (ENIS) est transformée en Ecole nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg (ENSAIS). – 


INSA Toulouse

L’institut Nationel des Sciences appliquées de Toulouse est créé en 1963. En 1969 La scolarité, au départ fixée à 4 ans, passe à 5 ans. 


INSTN Gif-sur-Yvette

L’Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires institué en juin 1956 à l’initiative du CEA, a créé le diplôme de spécialisation en Génie atomique (GA), habilité par la CTI (Commission des titres d’ingénieur)  –  


INP Bordeaux-Aquitaine (IPBx)

Créé en avril 2009, IPBx (Institut Polytechnique de Bordeaux) rassemble aujourd’hui 8 écoles d’ingénieurs publiques de Bordeaux (5 écoles internes [ENSC, ENSCPB, ENSEGID, ENSEIR-MATMECA, ENSTBB]  et 3 autres écoles sous convention [Bordeaux Sciences Agro, ENSGTI, ISA BTP]). En septembre 2014 IPBx change de nom et devient Bordeaux INP, intègre de le réseau des INP (Lorraine, Toulouse, Grenoble).
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Bordeaux Sciences Agro : 28 juin 1963 : création de l’école ; l’établissement est créé sous le nom de « ENITA de Bordeaux » (École Nationale d’Ingénieurs des Travaux Agricoles). 1990 : modification du recrutement et du concours d’entrée (recrutement après deux ans de formation supérieure (CPGE, BTS, DUT…) et délivre un diplôme d’ingénieur à bac + 5). 2011 : l’ENITA de Bordeaux change de nom et devient BORDEAUX SCIENCES AGRO.
Bordeaux INP
ENSC : L’ENSC a succédé à l’Institut de Cognitique (IdC), ancien institut interne de l’Université Bordeaux 2, créé en 2003. L’IdC a été transféré à l’institut Polytechnique de Bordeaux (IPB Bordeaux-INP) le 1er avril 2009, l’IdC a été dissout et recréé sous forme d’école interne par arrêté du 23 juin 2009  sous le nom d’Ecole nationale supérieure de cognitique (ENSC).
Bordeaux INP-ENSBP : l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie, de Biologie et de Physique est issue de la fusion en 2009 de l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie et de Physique de Bordeaux, créée en 1967 (ENSCPB) avec l’Institut des Sciences et Techniques des Aliments de Bordeaux (ISTAB). .
Bordeaux INP-ENSEGID, l’Ecole Nationale Supérieure en Environnement, Géoressources et Ingénierie du Développement Durable est créée en 2011, elle est issue de l »Institut EGID qui relevait de l’université Michel de Montaigne Bordeaux 3. L’institut EGID formait depuis1969 des spécialistes (MST, IUP, DESS) en Environnement pour la Gestion et l’Exploitation des ressources naturelles 
Bordeaux INP-ENSEIRB-MATMECA:  l’Ecole Nationale Supérieure d’Electronique, Informatique, Télécommunication, Mathématique et Mécanique de Bordeaux résulte de la fusion de l’ENSEIRB et de MATMECA
1920 : Création au sein de la faculté des Sciences, l’ERB, École de Radiotélégraphie de Bordeaux, était spécialisée dans le domaine de l’électronique. 1936 : habilitation par la CTI. 1966 : L’ERB devient l’ESERB – Ecole Supérieure d’Electronique et Radioélectricité de Bordeaux. 1973 : L’ESERB intégre le réseau des ENSI, l’ESERB devient l’ENSERB – École Nationale Supérieure d’Électronique et de Radioélectricité de Bordeaux. 1995 : Création de MATMECA, l’école d’ingénieurs en modélisation mathématique et mécanique de l’Université Bordeaux 1. En 2000, l’ENSERB devient l’ENSEIRB École Nationale Supérieure d’Électronique, Informatique et Radiocommunications de Bordeaux. 2009 : intégration des deux écoles dans l’IPBx et fusion en une école unique
ENSGTI, l’Ecole Nationale Supérieure en Génie des Technologies Industrielles a été créée en 1991, elle est située à Pau et est une école interne à l’université de Pau et des Pays de l’Adour.
Bordeaux INP-ENSTBB : Création de l’école en 1994
ISA BTP est un département de l’UFR Sciences et Techniques de la Côte Basque de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, basé à Anglet. L’ISA-BTP, a été créé en 1995.


IP-Lasalle Beauvais

L’Institut Polytechnique LaSalle Beauvais est né de la fusion de l’Institut Géologique Albert-de-Lapparent (IGAL) et de l’Institut Supérieur d’Agriculture de Beauvais (ISAB), le 1er septembre 2006.
Le 20 décembre 1854, le Ministère de l’Agriculture approuve le projet de création d’un INSTITUT NORMAL AGRICOLE pour la formation de Professeurs d’Agriculture, établi par le Frère Menée, Louis Gossin et Edouard de Tocqueville. 1913 – Diplôme d’Ingénieur d’Agriculture de l’Institut Agricole de Beauvais (IAB). 1959 – Création de l’Institut géologique Albert-de-Lapparent, IGAL. 1964 – habilitation du diplôme d’ingénieur en agriculture de l’ISAB par la CTI – 1985 reconnaissance de l’IGAL par l’Etat – 1er janvier 2016 : fusion avec l’ESITPA  – 


IPSA Ivry-sur-Seine

1961 : Naissance de l’IPSA créé par un groupe d’ingénieurs du domaine Aéronautique : l’Aérospatiale, Dassault …- 1999 : Intégration de l’IPSA dans le Groupe IONIS et installation au Kremlin-Bicêtre. Ancrage de l’Ecole dans l’informatique et les systèmes embarqués. 2011 : l’IPSA fête ses 50 ans, l’IPSA est habilité par la CTI à délivrer le titre d’ingénieur.


ISA Lille

Créé par Norbert Segard en 1963 l’Institut Supérieur d’Agriculture. 1976 : Les études passent de 4 ans à 4 ans et demi. 1986 : Les études passent de 4 ans et demi à 5 ans d’études.2006 : L’ISA devient le Groupe ISA . – 


ISAE (Groupe) Toulouse

Rapprochement de l’ENSICA et SUPAERO en 2007 pour former l’ISAE.

source « Bibliothèques ISAE-SUPAERO, Patrimoine, Hisis »

source "Bibliothèques ISAE-SUPAERO, Patrimoine, Hisis"

ENSICA1945 : Ecole Nationale des Travaux Aéronautiques, ENTA. 1957 : Ecole Nationale d’Ingénieurs de Constructions Aéronautiques, ENICA – 1979-2007 : Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Constructions Aéronautiques, ENSICA
SUPAERO 1909 : Ecole Supérieure d’Aéronautique et de Construction Mécanique, ESACM – 1930 : Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique, ENSA – 1972-2007 : Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace, ENSAE
Créé en mai 2011 avec l’adhésion de l’ENSMA de Poitiers, le groupe ISAE a accueilli en septembre 2012 en tant que partenaires associés l’ESTACA et les écoles d’officiers de l’armée de l’Air (Salon-de-Provence).
ENSMA Chasseneuil-du-Poitou : Dès 1945 une convention entre la D.T.I., l’université de Paris, et l’université de Poitiers, permettait de créer un institut de mécanique spécialisé dans l’étude des solides et des fluides, l’Institut de Mécanique et d’Aérotechnique de Poitiers (I.M.A.P.). Lorsqu’en janvier 1947 sortit le décret institutionnalisant les E.N.S.I. la situation était mûre pour que l’I.M.A.P. donne très naturellement naissance à « l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique ».
ESTACA Levallois-Perret1925 : Fondation par René Bardin avec la volonté de former plus d’étudiants pour l’aéronautique et l’automobile. En 1953 c’est la reconnaissance par l’Etat. – 1986 : habilitation par la CTI. 2003 : Ouverture d’ESTACA Campus-Ouest à Laval. 2012 : intégration dans le groupe ISAE. En 2015 : Ouverture du nouveau campus ESTACA – Saint-Quentin-en-Yvelines. – 


ISARA Lyon

L’Institut supérieur d’agriculture et d’agroalimentaire Rhône-Alpes créé en 1968 est un établissement privé, constitué en association loi 1901, reconnu par le Ministère de l’Agriculture depuis 1974.


ISAT Nevers

L’Institut Supérieur de l’Automobile et des Transports a été créé en 1991 et rattaché à l’Université de Bourgogne. L’histoire des locaux de l’ISAT : – 


ISBA TP Marseille

L’Institut Supérieur du Bâtiment créé en 1952, reconnue par l’Etat  en 1955, l’Institut  Supérieur du Bâtiment et des Travaux Publics est depuis octobre 1976 un service à part entière de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Marseille-Provence, sous tutelle du Ministère de l’industrie. Les relations entre l’ISBA-TP et l’École polytechnique d’Aix-Marseille Université (Polytech Marseille) ont fait l’objet d’une convention de rattachement, signée par l’Université et la CCIMP, qui a été rendue effective en 2011. 


 ISBS Paris

L’Institut Supérieur des BioSciences de Paris (ISBS-Paris) a été créé en 2004 grâce à un partenariat entre l’Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne (UPEC) et l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs en Electronique et Electrotechnique (ESIEE), école d’ingénieurs de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris (CCIP).
Chaque année, l’ISBS-Paris diplôme 24 ingénieurs qui accèdent à des métiers à l’interface de la clinique et des sciences pour l’ingénieur dans les secteurs industriels de la santé, particulièrement dans les domaines de l’industrie pharmaceutique et les technologies biomédicales.


ISEL Le Havre

Création de l’ISEL en 1994. L’ISEL a été la première formation d’ingénieurs française dédiée à la logistique, elle est une composante de l’Université du Havre.


ISEN Brest – Lille – Toulon

L’ISEN est né en 1956 au sein de l’Université Catholique de Lille, au moment où l’électronique faisait son apparition dans la vie courante. L’école a été créée par Norbert Segard, professeur de physique puis homme politique qui en tant que ministre des PTT a fait entrer la France dans l’ère de la télématique et des télécommunications.
Pour répondre à la demande des entreprises, l’ISEN a développé sa capacité de formation en créant des campus sur le même modèle pédagogique. Ainsi ont été créés les campus de Toulon en 1991 (ISEM) et de Brest en 1994 (ISEB). En 2003 les deux campus changeront de nom et s’appelleront ISEN.  –


ISEP Paris

L’Intitut Supérieur d’Electronique de Paris fut créé à l’Institut Catholique de Paris en 1955, là où Edouard Branly, Professeur de Physique, découvrit les radioconducteurs qui allaient conduire à l’invention de la T.S.F.. 1960 : habilitation du diplôme de l’ISEP par la Commission des Titres d’Ingénieur. 1971 : Reconnaissance par l’Etat. 2012 : la CTI renouvelle son habilitation à l’ISEP pour la durée maximale de 6 ans. 


ISIFC Besançon

Créée en 2001, l’Institut supérieur d’ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) est une école d’ingénieurs universitaire de Besançon, spécialisée en Dispositif Médical. Elle fait partie du concours national Polytech, du réseau national des écoles d’ingénieur en génie biomédical et de la CDEFI. Elle collabore étroitement avec le CHRU et l’EFS de Besançon, avec le SNITEM, le pole de compétitivités des microtechniques de Franche Comté et l’incubateur de Besançon. 


ISIMA Clermont-Ferrand

L’ISIMA (Institut Supérieur d’Informatique, de Modélisation et de leurs Applications) est fondée en 1993. L’ISIMA est habilitée par la CTI dès sa création.


ISMANS Le Mans

L’institut supérieur des matériaux du Mans (ISMANS), a été créé par la Chambre de commerce et d’industries de la Sarthe en 1987 avec le statut d’association loi 1901 ; sa première habilitation par la CTI date de 1992, la création de son laboratoire de recherche à fin 1994. Depuis décembre 2000, l’ISMANS est « Campus au Mans de l’Université du Québec » (UQO et UQAC).


ISTIA Angers

L’Institut des Sciences et Techniques de l’Ingénieur d’Angers (ISTIA) a été créé en 1991. Département de l’Université, puis UFR, l’ISTIA est aujourd’hui une École d’Ingénieurs de l’Université d’Angers habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieurs à délivrer depuis 2006 le diplôme d’ingénieur.
A sa création, l’ISTIA était organisé autour de 3 Maîtrises en Sciences & Techniques (MST) transformées ensuite en un IUP en Génie des Systèmes Industriels (GSI) sur lequel sont venus s’appuyer 7 DESS différents. Ces formations ont ensuite basculé en une licence Technologies et Entreprise et dans 2 masters (Ingénierie des Systèmes Industriels et des Projets – Technologies Innovantes). – 


ISTOM Cergy

1908-1955 : Ecole pratique coloniale du Havre (EPC) – 1908 – Première rentrée scolaire avec 12 élèves et 4 auditeurs libres. 1943 – La durée des études passe de 1 à 2 ans. 1955 – Changement de nom pour l’Ecole technique d’Outre-Mer (ETOM). 1955-1968 : Ecole Technique d’Outre-Mer du Havre (ETOM) – 1959 – La durée de l’école passe de 2 à 3 ans. 1968 – Changement de nom pour l’Institut supérieur technique d’outre-mer du Havre (ISTOM).
1991-2000 : ISTOM à Cergy – 1991 – Déménagement du Havre à Cergy Pontoise. L’ISTOM devient membre fondateur de l’Instutit polytechique Saint-Louis qui regroupe 7 écoles. 2000 à aujourd’hui : Ecole Supérieure d’Agro-développement International. 2004 – Habilitation du titre d’ingénieur au diplôme d’ingénieur par la CTI. 2004 – Passage de la scolarité de 4 à 5 ans.  – 


ITECH Lyon

L’ITECH est né en 1988 de la fusion de l’ESITL et de l’EFT, et a engendré la création d’un département Textile :
– l’ESITL (Ecole supérieure des Industries Textiles de Lyon), a été fondée en 1840, concrétisant l’exceptionnelle tradition de la Soierie lyonnaise.
– l’EFT (Ecole Française de Tannerie), créée en 1899, antenne au sein de l’Institut de Chimie Industrielle de l’Université de Lyon dans le domaine du Cuir puis de la Plasturgie (avec le CNAM) avant de se doter en 1969 d’un département Peintures, Encres et Adhésifs et dedevenir en 1983 l’ESCEPEA, Ecole Supérieure du Cuir et des Peintures, Encres et Adhésifs. 


Mines d’Alès – EMA

Le projet de création, à Alais (Alès) , d’une « École de maîtres-ouvriers-mineurs« , fut présenté au Conseil Municipal le 27 mars 1841. Créée en 1843 à Alès, l’École des Mines s’y est développée et s’est adaptée aux évolutions du monde industriel et de la société. Conformément aux idées directrices initiales, le concours d’entrée était ouvert à de jeunes ouvriers, travaillant dans les mines. La durée de la scolarité, également partagée entre des stages et des cours, s’étalait sur deux années. Tous les élèves devaient se plier à un régime d’internat contraignant. Les études, totalement gratuites, débouchaient, en cas de succès, sur l’obtention d’un brevet de « maître-mineur ».  Après 45 années d’existence, le conseil d’administration demanda un relèvement général des études. Seul changement retenu alors, le brevet attribué à la sortie devenait « diplôme de maître-mineur ». Toutefois, la direction de l’École continua d’élever l’enseignement aux extrêmes limites du cadre autorisé et à œuvrer patiemment pour obtenir une consécration officielle. Le décret et l’arrêté de 1907 apportèrent, pour l’époque, une amélioration satisfaisante du niveau de l’École, qui devint « École des maîtres-mineurs ».
C’est en 1933 que l’École prit le titre « d’École Technique des Mines d’Alès ». Elle avait désormais pour but de former du « personnel de maîtrise et des géomètres de mines ». La formation de conducteurs de travaux miniers y sera ajoutée en 1935.
En 1963 l’École devint « École Nationale Technique des Mines d’Alès ». A la suite d’un rapport démontrant qu’elle formait effectivement des ingénieurs de travaux relevant de la science de la terre, l’École put enfin délivrer un diplôme d’ingénieurs aux élèves entrés à partir de 1965 (habilitation de la CTI), date à laquelle l’École fut transférée à Clavières et la durée de la scolarité portée à quatre ans. Le 3 mars 1975, l’École devient « École Nationale des Techniques Industrielles et des Mines d’Alès« . – 


Mines d’Albi-Carmaux (ENSTIMAC – EMAC)

La décision de créer une 7ème École des Mines (après Paris 1783, Saint-Étienne 1816, Alès 1843, Douai 1878, Nancy 1919, Nantes 1990) est prise en 1990. En mars 1991, la localisation d’Albi est retenue pour une École de formation d’ingénieurs généralistes avec une spécialisation en Génie des Procédés. Octobre 1992 : après que la Commission des titres d’ingénieurs ait officiellement habilité l’École à décerner le diplôme, la première promotion fait sa rentrée. 11 janvier 1993 : le décret de création de l’École est signé.  – 


Mines de Douai (EMD)

Créée en 1878 pour former des maîtres-mineurs, Mines  Douai s’est transformée fondamentalement à partir des années 60 pour faire face à la récession charbonnière. 1965 : Elle devient école d’ingénieurs généralistes en proposant 2 options d’approfondissement : Bâtiment-Travaux Publics et Mécanique-Métallurgie. La durée des études est fixée à 4 ans. Le diplôme attribué par l’Ecole est habilité dès 1966 par la CTI. Années 70 et 80 : A partir de la demande industrielle et des besoins en ingénieurs formés, l’activité de recherche se développe au milieu des années 70, d’abord dans le domaine du BTP et de la Mécanique-Métallurgie, puis de l’environnement (1973), de l’énergétique industrielle (1975), de la technologie des polymères et composites (1984), de la métrologie-qualité (1986). Depuis le 1er mars 2012, Mines Douai fait partie de l’Institut Mines-Télécom. – 


Mines de Nancy (ENSMN)

1919 : Création de l’Institut Métallurgique et Minier rebaptisé un an plus tard École Supérieure des Mines et de la Métallurgie. 1971 : L’École devient l’une des pièces maîtresses de l’Institut National Polytechnique de Lorraine. 1991 : Une formation d’Ingénieur de spécialité en Matériaux et Gestion de Production est mise en place en parallèle à la formation Ingénieur Civil des Mines 2004 : Avec le Groupe des Écoles de Mines, l’École crée une Graduate School afin de promouvoir ses formations à l’international. 2008 : La chaire « Ingénierie et Innovation » voit le jour avec pour ambition de former les élèves ingénieurs au management de l’innovation. 2012 : Emménagement de l’École dans ses nouveaux locaux du campus Artem-Nancy. Naissance de l’Université de Lorraine. Création de l’Institut Mines-Télécom. Mines Nancy est l’une des écoles du Collegium Lorraine INP de l’Université de Lorraine, et est également partenaire stratégique de l’Institut Mines Télécom. –  


Mines de Nantes (EMN)

L’école Nationale Supérieure des Techniques Industrielles et des Mines de Nantes est créée en 1990, puis habilitée par la CTI en 1991.
En mars 2012, l’École intègre l’Institut Mines-Télécom et prend son nom actuel : École nationale supérieure des mines de Nantes. 


Mines ParisTech

Laboratoire_Mines-petit

 

L’École Nationale Supérieure des Mines de Paris (ENSMP) a été fondée en 1783, à l’époque où l’exploitation des mines était l’industrie de haute technologie par excellence.

Installée depuis 1816 au cœur du Quartier Latin, dans l’ancien Hôtel de Vendôme, en bordure du Jardin du Luxembourg, l’École s’est étendue en 1967 à Fontainebleau (à 500 m du château), et à Corbeil puis Évry (dans les locaux de la SNECMA), enfin en 1976 dans le parc technologique de Sophia Antipolis, à Valbonne près de Nice. 

laboratoire de l’Ecole des Mines

Mines Saint-Etienne

Le 2 août 1816, Louis XVIII produit une ordonnance royale portant création d’une école de mineurs à Saint-Étienne, alors en plein essor grâce à ses mines de charbon. Elle a pour mission de former des maîtres-mineurs. Le 7 mars 1831, une nouvelle ordonnance royale donne à l’établissement le statut d’école d’ingénieur.  Rapidement, le modeste bâtiment loué place Marengo, ne s’avère plus adapté et l’école s’installe en 1848 dans le domaine de Chantegrillet cédé par les Frères des écoles chrétiennes, l’école connaitra un nouveau déménagement en 1927 vers son emplacement actuel, sur le cours Fauriel. 1882 : décret qui confère à l’école le titre d’Ecole des Mines.
1908 : elle devient  » Ecole nationale des mines de Saint-Étienne « . 1927 : construction sur le cours Fauriel d’un nouveau bâtiment et l’école devient « Ecole nationale supérieure des mines ». – 


Montpellier SupAgro

1842: Création de l’école à la Saulsaie, dans les Dombes de l’Ain, par Césaire Nivière. 1902 : Création de l’Ecole nationale supérieure d’agriculture coloniale (Ensac) de Nogent-sur-Marne (ancêtre du Cnearc). 1908 : La loi du 5 février attribue le titre d’Ingénieur agricole aux anciens élèves diplômés des écoles nationales d’agriculture.
1946 : Création de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), organisme de recherche français en charge du secteur agricole et agro-industriel. 1949 : Les écoles nationales d’agriculture et l’Institut national agronomique deviennent écoles nationales supérieures agronomiques et délivrent désormais le diplôme d’ingénieur agronome. 1970 : Création du Centre d’expérimentation pédagogique de Florac (CEP). 1976 : Création de la Siarc (Section des industries agroalimentaires pour les régions chaudes devenue par la suite Département d’enseignement et de recherche des industries agroalimentaires en régions chaudes) au sein de l’Ecole nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires (ENSIA).
1988 : L’Ensam Montpellier est habilitée à délivrer le doctorat dans les disciplines agronomiques. 2006 : Création par décret du 13 décembre du Centre international d’études supérieures en sciences agronomiques – Montpellier SupAgro – à compter du 1er janvier 2007.
Montpellier SupAgro est issu du regroupement de l’Ensam, du Cnearc, de la Siarc de l’Ensia et du CEP de Florac.


ONIRIS Nantes

ONIRIS résulte de la fusion en 2010 de l’École nationale vétérinaire de Nantes (ENVN) créée en 1979 et de l’École nationale d’ingénieurs des techniques des industries agricoles et agroalimentaires (ENITIAA) créée en 1974, et habilitée par la CTI en 1978


PaoliTech Corte

En janvier 2011, la CTI a donné un avis favorable à l’habilitation de l’Université de Corse à délivrer le titre d’ingénieur avec une spécialité « Energétique ». Lors de leur deuxième année de formation, les étudiants ont la possibilité de choisir entre deux options ( « Energies Renouvelables » (ER) – « Génie de l’Habitat et Qualité Environnementale » (GHQE)). Le Pôle de Compétitivité CapEnergies PACA-CORSE a labellisé la formation d’ingénieur Paoli Tech pour sa spécialité Energétique.


Le Réseau des Polytech

L’idée d’école polytechnique universitaire (EPU) a été promue par le ministère de l’éducation nationale, de la recherche et de la technologie à la fin des années 1990. Ainsi est apparu l’objectif de faire émerger un nouveau type d’école d’ingénieurs au sein des universités. La première à voir le jour fut l’école polytechnique de l’université de Nantes, le 21 décembre 1999, suivie par l’école polytechnique universitaire de Marseille le 14 mai 2001. Dès lors l’idée d’un réseau des écoles polytechniques universitaires se concrétise en 2001.

Très vite, il se révèle que les quatre écoles qui s’étaient regroupées depuis quelques années au sein du réseau EIFFEL répondent au concept d’école polytechnique universitaire : il s’agit du CUST de Clermont-Ferrand, de l’EUDIL de Lille, de l’ISIM de Montpellier, et de l’ISTG de Grenoble. Elles décident de mettre en place, en 2002, un service inter-universitaire partagé, pour gérer administrativement leurs actions communes. Ainsi, en 2003, le réseau Polytech voit le jour par la fusion du réseau des écoles polytechniques existantes et du réseau EIFFEL qui apporte ses outils de gestion. Le réseau Polytech se dote rapidement d’une charte et d’un règlement intérieur auxquels adhèrent les écoles de Clermont-Ferrand, Grenoble, Lille, Marseille, Montpellier, Nantes, Orléans et Tours.

Le réseau Polytech grandira par étapes avec la création de Polytech Nice-Sophia en 2005, de Polytech Paris-UPMC et Polytech Annecy-Chambéry en 2006, puis de Polytech Paris-Sud en 2010. Polytech Lyon rejoindra le réseau au 1er janvier 2012.


Polytech Clermont (voir CUST)


Polytech Annecy-Chambéry

1993 : création de l’ESIA (Ecole Supérieure d’Ingénieurs d’Annecy) – 1988 : création de l’ESIGEC (Ecole Supérieure d’Ingénieurs de Chambéry)
Le 5 juillet 2006 l’Ecole Polytechnique Universitaire (EPU) de l’Université de Savoie, a été créée en lieu et place de l’ESIA et de l’ESIGEC. Le 19 juillet 2006, les instances dirigeantes du Réseau Polytech prenaient la décision d’accepter Polytech Annecy-Chambéry au sein de son réseau national. – 


Polytech Grenoble

créé en 1983 l’ISTG (Institut des Sciences et Techniques de Grenoble)est rattaché à l’Université de Grenoble 1. Habilitation de 1983 à 2000 par la CTI des 7 spécialitées mises en place. 2002 : l’ISTG devient Ecole Polytechnique de l’Université de Grenoble 1 (Polytech Grenoble) –


Polytech Lille

L’École polytechnique universitaire de Lille, est l’école d’ingénieurs de l’université des sciences et technologies de Lille (USTL), issue de la fusion en 2002 de l’École universitaire d’ingénieurs de Lille (EUDIL) créée en 1969 et habilitée en 1974, de l’Institut agricole et alimentaire de Lille (IAAL) créé en 1985 et de l’école d’Ingénieur d’Exploitation des Systèmes de Production (IESP), créée en 1992 (formation continue). 


Polytech Lyon

1992 : L’Université Claude Bernard Lyon1 crée l’ISTIL, Institut des Sciences et Techniques de l’Ingénieur de Lyon. La vocation de l’ISTIL est de répondre aux demandes industrielles, et c’est dans ce cadre qu’elle propose 4 filières : Multi matériaux et Interfaces, Génie Mécanique, Modélisation et Calcul Scientifique (MCS), Productique. 1999 : La filière Productique est délocalisée à Roanne, en partenariat avec les industriels et les élus locaux. 2009 : L’ISTIL obtient le statut d’Ecole Polytechnique Universitaire et rejoint en 2012 le réseau des Polytech ; – 


Polytech Marseille

Polytech Marseille a été créée en 2001 lors du regroupement de trois écoles d’ingénieurs : l’Institut Charles-Fabry – ICF (créé en 1993), l’Institut universitaire des sciences pour l’ingénieur de Marseille – IUSPIM (créé en 1985), l’Institut universitaire des systèmes thermiques industriels – IUSTI (créé en 1986) .
En 2012, dans le cadre de la fusion des trois universités d’Aix-Marseille, l’école fusionne avec une autre école d’ingénieurs universitaire, l’École supérieure d’Ingénieurs de Luminy (ESIL), créée en 1991


Polytech Montpellier

En 1970-1971, au sein de cette UER IV (Unités d’enseignement et de recherche de l’Université des sciences et techniques du Languedoc (USTL), aujourd’hui appelée Université Montpellier 2), sont créés une MIAGE et quatre MST devant déboucher, à la suite d’une année de formation complémentaire, sur un diplôme d’ingénieur à Bac+5. Par le décret du 27 mai 1974, l’UER IV est habilitée à délivrer le titre d’ingénieur et prend le nom d’Institut des sciences de l’ingénieur de Montpellier (ISIM). En 1985 l’enseignement est intégré sur trois ans, il n’y aura plus de délivrance de MIAGE et MST. 1992 Habilitation à délivrer le diplôme Ingénieur diplômé par l’Etat (IDPE) dans 7 spécialités. En 2003, l’ISIM devient Centre polytechnique universitaire (CPU) et prend le nom de Polytech Montpellier. – 


Polytech Nantes

1985 : création de l’Institut de Recherche et d’Enseignement Supérieur aux Techniques de l’Eléctronique (IRESTE) et l’Institut des Sciences de l’Ingénieur en Thermique-Energétique et Matériaux (ISITEM) à Nantes. 1990 création de l’Ecole Supérieure Atlantique d’Ingénieurs en Génie Electrique (ESA-IGELEC) à Saint-Nazaire. 2000 : fusion des trois écoles en école polytechnique universitaire « Polytech Nantes ». 


Polytech Nice-Sophia

Polytech Nice-Sophia est issue du regroupement en 2005 de l’ESINSA (Ecole Supérieure d’Ingénieurs de Nice Antipolis créée en 1991, elle-même issue de l’option « communication » de l’ESSTIN), l’ESSI (Ecole Supérieure en sciences informatiques créée en 1987) et du magistère de pharmacologie de l’Université de Nice-Sophia Antipolis. 


Polytech Orléans

Polytech Orléans résulte de la fusion en 2002 de deux écoles : l’école supérieure de l’énergie et des matériaux (ESEM) créée en 1972 et l’école supérieure des procédés électroniques et optiques (ESPEO) créée en 1992. 


 Polytech ParisSud

En 1983 est créée une « Formation d’Ingénieurs de l’Université Paris-Sud Orsay » (FIUPSO) avec la spécialité Systèmes électroniques – informatique industrielle qui s’enrichit l’année suivante de la spécialité Science et Génie des Matériaux. Avec l’inauguration de la Maison de l’ingénieur en 1992 et la création en 2004 de l’Institut de formation d’ingénieurs de l’Université Paris-Sud – lFIPS, l’intégralité des formations d’ingénieurs de l’Université Paris-Sud est réunie. Dernière née des composantes de l’université, l’IFIPS adhère en mars 2009 au Réseau Polytech et prend le nom de Polytech’ Paris-Sud le 1er janvier 2010.  


Polytech Paris UPMC

Création en 2005 de Polytech Paris UPMC intégrant l’IST Paris-6 (institut de Sciences et Technologie de l’Université Pierre et Marie Curie), créé en 1983  et l’IFITEP (Institut de Formation d’Ingénieurs en Techniques électroniques) créé en 1990. L’école intègre le Réseau Polytech en 2006. 


Polytech Tours

L’école a été créée en 2002 par la fusion de trois composantes de l’Université de Tours :
– l’Ecole d’Ingénieurs en Informatique pour l’Industrie (E3i) a été fondée en 1991
– l’Ecole d’Ingénieurs de Tours (EIT), créée en 1985
– et le CESA (Centre d’Études Supérieures d’Aménagement) créé en 1969.
Polytech Tours est membre co-fondateur du Réseau Polytech.


SEATECH Toulon

Le rapprochement des deux écoles d’ingénieurs ISITV (Institut des Sciences de l’Ingénieur de Toulon et du Var créé en 1991 rattaché à l’université de Toulon) et SUPMECA antenne de Toulon (créé en 1994) correspond à une volonté commune de renforcer l’orientation vers les sciences et technologies marines. Il est soutenu par les établissements principaux, l’Université de Toulon (USTV) et SUPMECA, ainsi que par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Seatech devient une nouvelle école interne de l’USTV (article 713-9). L’école a deux diplômes, l’un en formation sous statut d’étudiant et l’autre avec la spécialité « Matériaux » sous statut apprenti. La création est effective depuis le 1er janvier 2014


Sup’Galilée Villetaneuse

L’école d’ingénieurs Sup Galilée est un établissement public habilité depuis 1976. Le diplôme qu’elle délivre est reconnu par la CTI. L’école d’ingénieurs Sup’Galilée est rattachée à l’Institut Galilée, composante scientifique de l’Université Paris 13. 


SUPELEC Gif-sur-Yvette

L’Ecole Supérieure d’Electricité (SUPELEC) a été fondée en 1894 comme « École d’Application destinée à donner aux Ingénieurs les connaissances pratiques qu’exige l’emploi si étendu de l’électricité dans l’industrie… ». Cette école était le résultat indirect de l’extraordinaire succès remporté par l’Exposition Internationale de l’Électricité de 1881 dont une partie des bénéfices avait permis la création du Laboratoire. Elle changea très vite de nom et fut renommée en 1896 École Supérieure d’Électricité, appelée couramment Supélec. 1957: L’école appartient à la SEE (Société des électriciens et des électroniciens). Scolarité de deux ans. deux diplômes sont délivrés: ingénieur électricien et ingénieur radio-électricien.1962 : La scolarité passe en trois ans. Concours commun avec l’Ecole Centrale de Paris.1972 : ouverture de l’Antenne de Rennes. Fusion de la SFE (société française des électriciens) de la SFER ( société française des radioélectriciens). 1975 : Installation à Gif-sur-Yvette avec le LGEP. Accord avec le CNRS. 1985 : Création de l’établissement de Metz. 1987 : Nouveaux statuts: la SEE cède la gestion de l’école à l’association Supélec. – 


SUPMECA Paris

1948 : création de l’Institut Supérieur de Matériaux et de la Construction Mécanique (ISMCM), à l’initiative conjointe du ministère de la Défense, du ministère de l’Éducation nationale et de la Fédération des Industries Mécaniques. 1956 : Création du Centre d’Études Supérieur de Techniques Industrielles (CESTI), école d’ingénieur, rattachée à l’ISMCM. 1994 : Création de CESTI Toulon. 2003 : Le CESTI devient – Institut Supérieur de Mécanique de Paris – Supméca. 2006 : Rapprochement de Supméca et de l’École Internationale des Sciences du Traitement de l’Information (EISTI). Cette initiative, qui préfigure la création du Collegium Île-de-France, permettra aux deux écoles de mettre en commun leurs compétences en terme de formation initiale, d’apprentissage et de recherche. 2014 : l’antenne toulonnaise de Supméca est intégrée dans l’Université de Toulon (voir SEATECH) . – 


SupOptique Palaiseau

Au cours de la première guerre mondiale, en 1915, le besoin d’instruments d’optique est particulièrement flagrant et la France ne dispose pas d’ingénieurs pour en calculer les éléments. En 1916, avec Henri Chrétien, il établit un projet qu’il présente à Paul Painlevé, Ministre de l’Instruction Publique, des Beaux-Arts et des Inventions intéressant la Défense Nationale, qui en convainc ses collègues Ministres du Commerce, de la Guerre et de la Marine. Cette création fait l’objet d’un arrêté publié au Journal officiel du 16 novembre 1916. Cette commission est chargée d’élaborer le statut et le programme d’un « Institut d’optique appliquée »‘ à Paris. Matériellement l’Institut d’Optique ne peut s’installer qu’après la guerre, à la fin de 1919, et ses activités ne commencent qu’en 1920.
En 1952 la durée des études passe à trois ans et le recrutement ne se fait plus que sur concours, commun avec Supélec à partir de 1959, puis avec les Écoles Centrales.  2006 : déménagement sur le site de Palaiseau ; un nouveau nom d’usage est choisi pour l’établissement : Institut d’Optique Graduate school ; – 


Télécom Bretagne Brest

Création en 1977 de l’ENSTB (Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications de Bretagne) et habilitation par la CTI en 1978. 2008 L’ENST Bretagne devient Télécom Bretagne et le GET prend le nom d’Institut Télécom.  – 


Télécom Lille1

1990 : Création de l’école par l’INT et l’USTL. L’INT, pour le compte de France Telecom, et l’USTL créent L’ENIC (École Nouvelle d’Ingénieurs en Communication), avec le soutien de plusieurs fédérations d’enteprises. 2001 : l’ENIC devient ENIC-TELECOM Lille1. 2005: L’ENIC TELECOM Lille1 change de nom et devient TELECOM Lille. 2012 TELECOM Lille1 devient filiale du nouvel Institut Mines-Télécom. 2013 : TELECOM Lille1 devient Télécom Lille ; – 


Télécom Nancy

 1990 : création de l’ESIAL (Ecole Supérieure d’Informatique et Applications de Lorraine) au sein de l’Université Henri Poincaré Nancy.  Le 21 septembre 2011 à Nancy a eu lieu la signature d’une convention Institut Télécom (Institut Mines-Télécom depuis le 1er mars 2012) – Université Henri Poincaré (Université de Lorraine depuis le 1er janvier 2012) – ESIAL (TELECOM Nancy depuis le 29 juin 2012). Par cette convention, l’ESIAL/TELECOM Nancy est devenue la 7e école associée de l’Institut Télécom.  (les 20 ans de l’ESIAL) –


Télécom ParisTech

4 novembre 1878, création de l’École Supérieure de Télégraphie – en 1888 : l’école devient l’École professionnelle des postes et télégraphes. En 1938, pour son cinquantenaire, le président Albert Lebrun la récompense pour « services essentiels rendus à la nation ». Pendant la guerre, l’École apporta sa contribution à la Résistance, comme tant d’autres communautés de jeunes. En 1942, elle reçoit son appellation définitive d’École Nationale Supérieure des Télécommunications (ENST) – À partir de 1943, l’École recrute également des élèves-ingénieurs civils. Elle a essaimé à Sophia-Antipolis avec EURECOM. Le 1er janvier 2008 Télécom Paris est devenue Télécom ParisTech. – 


Télécom Physique Strasbourg Illkirch

1970 : création de l’Ecole d’Ingénieurs Physiciens de Strasbourg (EIPS) à l’initiative et avec le soutien du Département de Physique de l’Université Louis Pasteur. 1981 : habilitation par la CTI et l’EIPS devient l’Ecole Nationale Supérieure de Physique de Strasbourg (ENSPS). 2008 : L’ENSPS devient Ecole Associée de l’Institut TELECOM. 2012 :  l’Ecole devient Télécom Physique Strasbourg.


Télécom Saint-Etienne

1991 : création de l’Institut Supérieure des Techniques Avancées de Saint-Etienne (ISTASE). 2008 : l’école devient la première école associée de l’Institut Télécom et change de nom pour devenir Télécom Saint-Etienne. – 


Télécom Sud Paris Evry

Création de l’Institut National des Télécommunications (INT) en 1979. En 1996 l’établissement change de nom et devient Télécom INT. En 2008 : le Groupement des Ecoles de Télécommunications (GET) devient l’Institut Télécom et l’École change son nom en Télécom SudParis.


UTBM Belfort

Créée en 1999, l’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel. Membre du réseau des universités de technologie, elle est née du regroupement de deux établissements d’enseignement supérieur : l’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Belfort (ENIBe créée en 1962) et l’Institut Polytechnique de Sevenans (IPSé, antenne de l’UTC implantée à Sevenans en 1985). 


UTC Compiègne

Création de l’Université de Technologie de Compiègne en 1972 et habilitation par la CTI en 1975. L’UTC a ensuite essaimé en permettant la création de l’UTT (Troyes) et l’UTBM (Belfort-Montbéliard), réunies à travers le réseau des UT, qui compte aujourd’hui une 4e université de technologie à Shanghai : l’UTseuS


UTT Troyes

Créée par décret en septembre 1994, l’université de technologie de Troyes s’est installée dans ses locaux entre septembre 1996 (livraison de la 1ère tranche) et septembre 1997 (2e tranche). Elle est issue de l’Institut de génie technologique de Troyes (ouverture en septembre 1993) qui était une antenne de l’université de technologie de Compiègne.  (source : Comité National d’Evaluation des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel)


VetagroSup Clermont-Ferrand

VetAgro Sup est né le 1er janvier 2010 de la fusion de l’École nationale vétérinaire de Lyon, l’École nationale d’ingénieurs des travaux agricoles de Clermont-Ferrand (ENITAC) et l’École nationale des services vétérinaires. L’ENITAC a été créée et habilitée par la CTI en 1984.
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page modifiée le : 21 mars 2016